Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Desserts - Page 6

  • L'année 2008 sera l'année de la yaourtière !

    Imprimer Catégories : Desserts

    Souvenez-vous, il y a eu les MAP (ou Machine A Pain), devenues incontournables dans toute cuisine qui se respecte. Il y a le siphon, qui commence à percer, mais je vous le dis, je vous l'affirme, l'année 2008 sera l'année de la yaourtière !

    Et pourquoi donc, me direz-vous ? Je vous répondrai simplement : "essayez donc !" et vous comprendrez... Le goût est tout simplement inimitable. Je comparerais cela avec le pain qu'on fait soi-même : quand on revient à ceux du commerce, même très bon, on y sent toujours, au fond, parfois bien au fond, un petit goût de produits "annexes", conservateurs ou autres. Avec les yaourts, c'est pareil : le résultat obtenu, c'est une texture douce, veloutée quoique ferme, crémeuse, bref, absolument savoureuse.

    Le hic, c'est que si j'admire ceux qui proposent plein de variations autour du yaourt, comme ici ou encore ici, moi, je les aime nature (et les enfants aussi) et préfère garder la possibilité d'ajouter des fruits ou de la confiture plutôt que de les aromatiser d'emblée. Voici donc les :*

    YAOURTS NATURES

    Pour les premiers 7 yaourts, il faut :

    • un litre de lait entier
    • une dose de ferment lactique achetée en pharmacie

    Mélanger la poudre de ferment avec quelques cuillerées à soupe de lait. Puis diluer jusqu'à obtenir une tasse.

    Laisser reposer deux heures.

    Ajouter au mélange le reste de lait en fouettant bien pendant au moins trente secondes.

    Verser dans les pots (sans couvercle) et brancher la yaourtière pour onze heures.

    A l'issue de la cuisson, les laisser refroidir avant de les entreposer une heure minimum au réfrigérateur.

    YAOURT_005

    Remarques :

    • Pour les suivants, il suffit de délayer un de vos yaourts avec le litre de lait, de laisser reposer une heure avant de fouetter et de mettre en pot.
    • Utiliser du lait entier permet d'obtenir des yaourts plus moelleux.
    • Si vous voulez tout savoir sur le yaourt, sa vie, son oeuvre, c'est ici.

    9 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Biscuit moelleux aux mangues

    Imprimer Catégories : Desserts

    Je l'avoue bien volontiers, j'éprouve une certaine forme de nostalgie : de chaleur, d'odeurs épicées et de fruits du soleil. Les mangues et autres papayes me manquent au petit-déjeuner...

    Heureusement, il traînait au fond de mon congélateur un sachet de mangues congelées. Une fois revenues à la vie, elles étaient comme fraîches : d'un bel oranger lumineux, avec leur chair fondante et douce. C'est ainsi que j'ai réalisé ce :

    BISCUIT MOELLEUX AUX MANGUES

    Pour 6, il faut :

    • 450 g de mangues congelées
    • 5 oeufs
    • 120 g de sucre
    • 40 g de farine
    • 30 g de Maïzena
    • une pincée de sel

    Faire décongeler les mangues et les égoutter.

    Faire préchauffer le four à 180° (th 6). Graisser le moule.

    Séparer les blancs des jaunes.

    Battre les blancs en neige ferme avec la pincée de sel.

    Mélanger les jaunes et le sucre jusqu'à obtenir une texture mousseuse. Ajouter la farine, puis la Maïzena.

    Incorporer progressivement et délicatement l'intégralité des blancs en neige. Verser dans le moule.

    Déposer face bombée en dessous les quartiers de mangue et enfourner pendant 50 minutes. A mi-cuisson, baisser la chaleur du four à 160°.

    Biscuit_moelleux_aux_mangues

    Remarques :

    • Ce gâteau convient à merveille aux fruits juteux : le fondant du fruit se marie parfaitement à la texture mousseuse de la pâte.
    • Attention au démoulage...

    9 commentaires Pin it! Lien permanent
  • L'atelier-bugnes de Mardi-Gras ou comment lutter contre le "j'sais pas quoi faire"

    Imprimer Catégories : Desserts

    Scène de la vie quotidienne hier soir, à la sortie de l'école : "Tu sais quoi ? eh bien  la maîtresse est malade, alors on n'a pas de devoirs !

    - C'est super, non ? m'enquis-je d'un ton presque sceptique à regarder la moue de ma progéniture énonçant ça.

    - Nooooon, c'est trop nul ! Comme je peux pas regarder la télé, je vais m'ennuyer !"

    Le grand mot est lancé : ENNUI. "J'sais pas quoi faire, quesque j'peux faaaaaire..." Ce n'est plus une interrogation mais un constat. D'ailleurs, même le petit de deux ans et demi s'y est mis : l'autre soir, je le pose dans son bain et je le vois se prendre le menton dans les mains d'un air malheureux en gémissant : "Ch'sais pas quoi faaaire..."

    "Bon, alors les enfants, je vous propose un truc, lançai-je à la cantonade après le goûter. Demain c'est Mardi-Gras, on va faire des bugnes ! " Et là, la mauvaise foi absolue : "Boooon, si ÇA te fait plaisir..."

    Ben tu parles ! Faire les bugnes avec deux nains dans les jambes, si ça me fait plaisir ! Sauf qu'on est à Lyon et qu'ici, PAS DE MARDI-GRAS SANS BUGNES ! J'avais déjà proposé la recette dodue, on passe maintenant à la recette plate. Voici donc les :

    BUGNES

    Pour 50 bugnes, il faut :

    • 250 g de farine
    • 50 g de beurre
    • 50 de sucre en poudre
    • 3 oeufs
    • le zeste d'un demi-citron
    • de la fleur d'oranger au goût de chacun

    Travailler le beurre et la farine comme une pâte brisée.

    Ajouter le sucre, le zeste de citron et les oeufs. Bien mélanger puis terminer par la fleur d'oranger. La pâte doit former une boule que vous mettrez un petit moment au frais pour qu'elle durcisse.

    Étaler la pâte, la découper en n'oubliant pas de pratiquer une incise au centre pour "nouer" la bugne.

    Faire frire jusqu'à ce qu'elles soient légèrement dorées.

    cuisine,dessert

    Remarques :

    • La recette est celle de ma copine Anne, qui la trouvée sur Marmiton.
    • Mais l'idée géniale de ma copine, c'est d'utiliser la machine à pâte pour étaler : on obtient ainsi des bugnes hyper fines !
    14 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Le cake pour passer l'hiver

    Imprimer Catégories : Desserts

    On ne le dira jamais assez : les fruits secs, c'est bon pour la santé ! Ils sont riches en glucides et en vitamine du groupe B, contiennent de nombreux minéraux (potassium, calcium, magnésium, fer) et leur concentration en fibres permet l'élimination des acides biliaires et du cholestérol A. L’abricot sec, recordman de potassium et de provitamine A, contient aussi du fer ainsi que des vitamines B3 à E. Les raisins secs, eux, sont riches en vitamines B2, favorables à la croissance, au bon développement des organes, au bon état de la peau et des muqueuses. Les figues, grâce à leurs fibres abondantes, stimulent le transit intestinal. Riches en sels minéraux et surtout en vitamine B, elles favorisent l’équilibre du système nerveux et permettent de diminuer les risques d’anémie. Et j'ai quant à moi rajouté des noisettes, car la noisette est un des fruits les plus riches en oligo-éléments (Chlore, Fer, Cuivre, Manganèse et Zinc) et en vitamines (A, B1, B2, B3, C et E), mais aussi en éléments minéraux (Calcium, Potassium, Phosphore, Soufre, Magnésium).

     

    En vertu donc de toutes ces vertus - justement - et aussi parce que je suis gourmande, voici donc le :

    CAKE AUX FRUITS SECS

    Pour 6, il faut :

    • 4 oeufs
    • 150 g de beurre demi-sel
    • 250 g de farine
    • un sachet de levure
    • 50 g de sucre roux
    • 100 g de sucre blond
    • 50 g de figues
    • 50 g de noisettes
    • 50 g d'abricots secs
    • 50 g de raisins secs

    Préchauffer le four à 210° (th 7).

    Battre ensemble les oeufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange mousse. Ajouter alors la farine.

    Faire fondre le beurre et l'incorporer au mélange.

    Couper les abricots secs et les figues en quatre. A l'aide d'une spatule, les intégrer à la pâte ainsi que les noisettes et les raisins.

    Verser la préparation dans le moule et enfourner en ramenant la température à 200°. Puis la descendre à 180° (th 6) au bout de vingt minutes.

    Cake

    Laisser cuire 50 minutes environ en tout. Tester la cuisson à l'aide d'un couteau.

    7 commentaires Pin it! Lien permanent
  • La galette selon Peau d'Âne

    Imprimer Catégories : Desserts

    Bien sûr en ce jour d'épiphanie, je ne dérogerai pas à la règle : la galette à la frangipane. Mais plutôt que de vous resservir une recette que j'ai déjà livrée ici, je vous propose la version "filmée" de la recette - revue récemment et toujours aussi magique. Enfin, ce n'est pas vraiment celle de la galette, plutôt celle du cake d'amour, mais en tout cas, la "fève" y est. Voici donc :

    LA GALETTE SELON PEAU D'ÂNE

    Peau d'Âne, Jacques DEMY, 1970.

    Et le texte :

    Peau d'Ane donc prend sa farine

    Qu'elle avait fait bluter exprès

    Pour rendre sa pâte plus fine,

    Son sel, son beurre et ses oeufs frais ;

    Et pour bien faire sa galette,

    S'enferme seule en sa chambrette.

     

    D'abord elle se décrassa

    Les mains, les bras et le visage,

    Et prit un corps d'argent que vite elle laça

    Pour dignement faire l'ouvrage

    Qu'aussitôt elle commença.

     

    On dit qu'en travaillant un peu trop à la hâte,

    De son doigt par hasard il tomba dans la pâte

    Un de ses anneaux de grand prix ;

    Mais ceux qu'on tient savoir le fin de cette histoire

    Assurent que par elle exprès il y fut mis ;

    Et pour moi franchement je l'oserais bien croire,

    Fort sûr que, quand le Prince à sa porte aborda

    Et par le trou la regarda,

    Elle s'en était aperçue :

    Sur ce point la femme est si drue

    Et son oeil va si promptement

    Qu'on ne peut la voir un moment

    Qu'elle ne sache qu'on l'a vue.

    Je suis bien sûr encor, et j'en ferais serment,

    Qu'elle ne douta point que de son jeune Amant

    La Bague ne fût bien reçue.

    Charles PERRAULT, "Peau d'Âne", 1694.

    2 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Chronique misanthrope et chocolat chaud pour se remettre de commencer l'année

    Imprimer Catégories : Desserts

    Et voilà, l'année a commencé, je dois corriger tous les chèques que je fais (et ils sont nombreux) parce que je reste toujours en 07 et endurer les rituels voeux. Car si j'aime recevoir des cartes, si j'aime savoir que l'on pense à moi et à ceux que j'aime, l'idée de devoir embrasser qui je ne veux pas au prétexte que "c'est la tradition", ça me déprime. Je vous épargnerai également la fameuse rétrospective de l'année, très en vogue sur les chaînes de télé et les blogs - rappelez-vous, janvier, je disais ça, et puis en février ça, et etc...

    Moi, la seule chose qui me trotte en tête en ce début d'année, c'est cette chronique de Pierre DESPROGES, si Desproges et si délicatement intitulée "Bonne année mon cul".

    Janvier est de très loin le mois le plus saumâtre, le plus grumeleux, le moins pétillant de l'année.

    Les plus sous-doués d'entre vous auront remarqué que janvier débute le premier. Je veux dire que ce n'est pas moi qui ai commencé.

    Et qu'est-ce que le premier janvier, sinon le jour honni entre tous où des brassées d'imbéciles joviaux se jettent sur leur téléphone pour vous rappeler l'inexorable progression de votre compte à rebours avant le départ vers le Père-Lachaise...

    Dieu merci, cet hiver, afin de m'épargner au maximum les assauts grotesques des ces enthousiasmes hypocrites, j'ai modifié légèrement le message de mon répondeur téléphonique. Au lieu de "Bonjour à tous", j'ai mis "Bonne année mon cul". C'est net, c'est sobre, et ça vole suffisamment bas pour que les grossiers trouvent ça vulgaire.

    Pierre DESPROGES, Chroniques de la haine ordinaire, "3 Février 1986", 1987.

    J'avoue, vingt ans plus tard, ça me fait toujours autant rire. Mieux, cela fait partie de moi. Ce doit être à cela que l'on reconnaît les immortels...

    Mais bon, je ne voudrais pas pour autant que vous me preniez pour une atroce misanthrope, ne croyez pas que des soucis annexes m'ont retiré tout appétit, pour preuve, je m'en vais vous livrer l'évidente recette anti-coup de blues, le truc inratable... Voici donc le :

    CHOCOLAT CHAUD DE RÉCONFORT

    Pour une tasse (soyons égoïste), il faut :

    • 20 cl de lait (si possible entier)
    • 2 barres de chocolat (soit environ 20 g)
    • une pincée de cannelle
    • une pincée de chocolat en poudre (ça, c'est si vous êtes très déprimé)

    Faire chauffer le lait et le chocolat coupé en morceaux en fouettant régulièrement. lorsque le chocolat est entièrement fondu, ajouter le cacao en poudre si nécessaire et saupoudrer de cannelle.

    Consommer sans attendre.

    Chocolat

    Remarques :

    • Aucune
    • Ah, si, contentez-vous d'une tasse, après, ça ballonne un peu...
    • Le brassadeau est en option.

    8 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Dentelle de cookies

    Imprimer Catégories : Desserts

    C'est en flânant du côté de chez Scherneel que j'ai découvert ces petits délices. C'est d'abord parti d'un contresens : de ses ça, de délicieux petits gâteaux dodus aux flocons d'avoine... Quelle ne fut pas ma surprise - et mon désespoir - lorsque je découvris dans mon four que les petits tas façonnés délicatement devenaient une grande flaque !

    Le coeur gros, je sortis mes plaques du four et les laissai un peu dédaigneusement refroidir toutes seules, comme de pauvres choses. Puis, une fois tiédies, je me mis en devoir de les débiter en esquisse de gâteaux. Et puis j'ai présenté mon plat au goûter... Et ça a fait un tabac !

    Oh, bien sûr, cela n'avait rien de cookies, c'était plutôt plutôt un genre de nougatine, mais délicieusement fondante, légère et croustillante ! Et là, je suis retournée à l'intitulé de Scherneel : bien sûr, "lace", c'était dentelles ! Voici donc cette :

    DENTELLE DE COOKIES

    Pour une vingtaine de portions :

    • 115 g de beurre demi-sel
    • 130 g de cassonade
    • 2 cuillères à soupe de farine
    • 2 cuillères à soupe de lait
    • 150 g de flocons d'avoine
    • une cuillère à café de poudre de vanille

    Faire ramollir le beurre et le battre avec le sucre jusqu'à obtenir une texture crémeuse.

    Ajouter ensuite la farine, le lait, la vanille et les flocons d'avoine et bien mélanger.

    Préchauffer le four à 180° (th 6) et faire de petits tas de pâte sur une tôle en papier sulfurisé. Enfourner pour dix minutes environ.

    Lorsque les gâteaux sont cuits et refroidis, séparer les morceaux (ou casser la grande plaque !).

    avoine

    Remarques :

    • J'ai opté pour du beurre demi-sel, ce qui évite le côté "trop sucré" et équilibre l'ensemble.
    • Les flocons d'avoine apportent une vraie originalité.
    8 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Flan au chocolat brut de brut

    Imprimer Catégories : Desserts

    Décidément, l'agar-agar m'a capturée ! Non contente d'avoir réussi mes flans à l'amande, je me suis lancée dans l'improvisation la plus folle et j'ai réalisé... un autre flan ! Mais attention, pas de ces flans lyophilisés comme j'en ai produit durant toute mon enfance - eh oui, ceux qui accompagnaient si bien le gâteau au yaourt et dont le nom commençait par un A...-, non un vrai, un authentique flan pur chocolat. Un truc ultralight en plus, puisque réalisé encore une fois au lait de soja, et sans sucre. Voici donc mon :

    FLAN AU CHOCOLAT BRUT DE BRUT

    Pour 6 verrines, il faut :

    • un demi-litre de lait de soja
    • 100 g de chocolat extra-noir
    • une cuillère à café d'agar-agar

    Faire chauffer le lait de soja et y faire fondre le chocolat coupé en morceaux. Lorsque le mélange est bien onctueux, ajouter l'agar-agar et laisser bouillir durant trente secondes.

    Verser dans des verrines, laisser refroidir avant d'entreposer au frais.

    Flan_chocolat_002

    Remarques :

    • Cette version brutale est à réserver aux "vrais" puristes. Pour les autres, ajouter un peu de sucre...
    • On peut faire bouillir le lait avec une gousse de vanille avant de faire fondre le chocolat, pour un goût plus doux.
    9 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Flan d'amande ultra light

    Imprimer Catégories : Desserts

    Comme beaucoup, j'ai craqué sur le premier livre de Cléa, Agar Agar. Je me suis délectée à le feuilleter, j'ai battu des mains à l'idée de savoir enfin comment utiliser des ingrédients que j'avais achetés en magasin bio, cédant à la tentation, mais se sachant pas trop quoi en faire, et... je me suis lancée !

    Une de ses recettes, intitulée justement "Rêve d'orient" m'a bien fait voyager : un flan aux amandes et à la fleur d'oranger. Sauf que nous ne sommes pas très fleur d'oranger à la maison. Et que je recevais ce soir-là des personnes dotées d'un solide appétit. J'ai préféré "enrichir" le flan à l'amande avec un brownie. Excellente alliance d'ailleurs : la légèreté du flan au goût délicat d'amande et le consistant du chocolat. Voici donc le :

    FLAN D'AMANDE ULTRA LIGHT

    Pour 4, il faut :

    • 80 g de purée d'amande blanche
    • 3 cuillères à soupe de sirop d'agave
    • 200 ml de lait de riz
    • 2 grammes d'agar-agar

    Mélanger la purée d'amande et 3 cuillerées à soupe de sirop d'agave.

    Porter à ébullition le lait, 200 ml d'eau et l'agar-agar. Laisser frémir pendant trente secondes.

    Verser petit à petit sur la purée d'amande en délayant bien. Remplir quatre ramequins, laisser refroidir avant de placer au réfrigérateur.

    FLAN_NOISETTE_ET_MUFFIN

    Remarques :

    • J'ai adoré ce dessert ! Le goût de l'amande est merveilleusement délicat et la texture fondante à souhait.

    • En fait, le brownie, ce n'était pas la peine...

    7 commentaires Pin it! Lien permanent
  • Pêches de vigne en gelée de menthe

    Imprimer Catégories : Desserts

    La saison des pêches de vigne est aussi brève que goûteuse. J'ai la chance d'avoir "une filière" qui me permet de les récupérer tout juste cueillies. Les fruits tiennent au creux de la main, révèlent une chair violacée et, surtout, sont éphémères : la pêche de vigne se conserve mal. Je l'ai déclinée sous deux formes : en glace et en salade. Les ingrédient étaient les mêmes, seules changeaient la présentation et la température.

    Voici donc les :

    PÊCHES DE VIGNE EN GELÉE DE MENTHE

    Pour 6 verres, il faut :

    • une dizaine de pêches de vigne
    • 200 ml d'eau
    • une dizaine de feuilles de menthe
    • 5 cuillerées à soupe de sucre blond
    • 2 feuilles de gélatine

    Peler les pêches et les couper en petits morceaux.

    Faire bouillir l'eau et y laisser infuser la menthe entre cinq et dix minutes. Ôter les feuilles et verser le sucre. Porter à ébullition le sirop puis le retirer du feu. Attendre quelques instants avant d'y faire fondre la gélatine (préalablement trempée dans de l'eau froide).

    Disposer dans de petits verres les morceaux de pêche puis arroser de sirop tiède. Laisser refroidir avant de garder au froid jusqu'au moment de servir.

    Salade_p_ches

    Remarques :

    • C'est délicieusement frais, la gelée comme le léger parfum de menthe.
    • Ne pas hésiter à sucrer davantage si les pêches ne vous le paraissent pas assez.
    5 commentaires Pin it! Lien permanent