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Desserts - Page 7

  • Cookies inratables pour kermesse de fin d'année

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    Comme le soulignait Gracianne voici quelques jours, les fins d'année sont dures pour les parents. Les fêtes et autres kermesses se multiplient, et avec elles les gâteaux. Depuis cette année, j'ai décidé de donner dans le gâteau individuel. Au lieu d'un gros gâteau divisé en douze portions, je propose douze petits gâteaux. J'ai déjà fait les muffins, je me suis tournée vers les cookies cette fois-ci. Mais attention, pas le petit cookie, non : le BIG cookie saturé de pépites de chocolat et moelleux à coeur.

    Bien évidemment, je me suis sacrifiée pour manger les plus petits afin que ne restent que les beaux, les dodus. Surtout que le cookie a cela de génial que, comme l'artichaut, il est très rentable : la pâte crue est délicieuse et cuit, il n'est jamais meilleur que juste sorti du four, avec les pépites fondantes... En plus, c'est le genre de chose absolument inratable. Voici donc les :

    COOKIES INRATABLES

    Pour une quinzaine de très gros cookies, il faut :

    • 200 g de beurre demi-sel
    • 220 g de cassonade (j'ai mêlé cette fois-ci 120 g de cassonade et 100 g de sucre blond)
    • une bonne cuillère à café de vanille en poudre
    • 2 oeufs
    • 150 g de farine + 150 g de farine à poudre levante
    • 200 g de pépites de chocolat
    • 2 cuillères à soupe de lait

    Préchauffer le four à 180° (th 6).

    Dans une terrine, mélanger le beurre fondu, la cassonade, la vanille et les oeufs. Ajouter les pépites de chocolat et le lait.

    Former des boules de pâte à l'aide d'une cuillère à soupe et les déposer sur la plaque couverte de papier sulfurisé. Les aplatir légèrement.

    Cuire une dizaine de minutes au four (les cookies doivent commencer à voir leur contour s'assombrir) avant de sortir les gâteaux et les laisser refroidir sur une grille. Renouveler l'opération jusqu'à épuisement de la pâte.

     

    Cookies

    Remarques :

    • Ce qui gâche le cookie, c'est la cuisson : il faut qu'il ait cet aspect "pas cuit" quand vous le sortez.
    • Si vous n'utilisez pas de beurre demi-sel, diminuez la quantité de sucre.

    Voir aussi Le secret des cookies moelleux

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  • Des téléphones portables, des Stones et d'une tarte au chocolat...

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    Je ne voudrais pas avoir l'air de la ramener avec cette affaire de Paris HILTON et son téléphone portable, mais je pense cependant qu'il s'agit là d'une affaire de génération... Je m'en faisais la remarque pas plus tard que lundi dernier...

    Je me trouvais alors sur la pelouse du stade de Gerland, en train de me trémousser au son du plus grand groupe de rock du monde, logonoyée dans une foule aussi bigarrée dans son aspect vestimentaire que dans ses âges : cela allait du costume-cravate du quadragénaire au fan des Stray Cats en santiags, la soixantaine bien tassée. Plus quelques minets brushingués, puisque c'est ainsi que les 16-18 ans se coiffent, et des familles entières exhibant leurs tee shirts qui tiraient la langue... Moi, j'avais ressorti ma panoplie de d'jeune, avec mon jeans déchiré, mon sac à dos et mon Kway (ce qui me fut très utile durant la première partie car, même si Starsailor propose une pop bien sympathique, cela vous avait quand même un peu un côté "Danse de la pluie")... Heureusement, le ciel sut se tenir et, aux premiers riffs de Start me up, la pluie laissait la place à Mick et ses copains.

    Donc, disais-je, l'ultra-nécessité du téléphone portable au détriment de son bien-être personnel doit vraiment être affaire de génération. C'était net : les plus de vingt-cinq ans ont passé la soirée bras levés, à taper dans leurs mains, danser et hurler (plutôt que chanter) les immortels refrains, les moins de vingt-cinq ans ont passé la soirée bras levé (au singulier), à photographier, enregistrer ou filmer le concert avec leur téléphone portable !

    Récapitulons pour ceux qui n'auraient pas pris conscience de l'absurdité du phénomène : ils ont payé 75€ leur place (premier prix, sur la pelouse), tout ça pour tendre le bras et vérifier périodiquement que oui, la photo était bonne, le son aussi, l'image top, tout ça sur un pauvre écran de 3 centimètres sur 3 dans le meilleur des cas ! Franchement cela m'atterre : le plaisir naîtrait donc aujourd'hui non de savourer l'instant présent mais de pouvoir montrer à d'autres qu'on y était ? Déprimant. Pour se requinquer, je vous propose une énième variation autour de la tarte au chocolat, toujours ultra simple et spéciale fainéante. voici donc la :

    TARTE AU CHOCOLAT PLUTÔT BIEN SUCRÉE

    Pour 6, il faut :

    • un rouleau de pâte sablée
    • 200 g de chocolat
    • une boîte de lait concentré sucré

    Étaler la pâte et la faire cuire une vingtaine de minutes après l'avoir piquée et recouverte d'éléments l'empêchant de gonfler.

    Dans une casserole, verser le lait concentré, ajouter l'équivalent en eau en utilisant la boîte en doseur et faire chauffer. Lorsque c'est chaud, y faire fondre le chocolat coupé en petits morceaux.

    Verser l'appareil sur le fond de tarte et laisser refroidir.

    Tarte_au_chocolat

    Remarques :

    • Comme je le disais dans mon préambule, un peu sucrée pour les vrais amateurs de chocolat dont je suis...
    • Penser à la garder au frais, sinon le chocolat est un peu écoeurant tiède.
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  • Brioche toute simple

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    Parfois il me prend des idées de simplicité. "Tiens, me dis-je l'autre jour en retrouvant au fond d'un de mes placard du sucre d'érable ramené du Québec, et si je faisais une brioche au sucre ?" Aussitôt dit, aussitôt fait !

    Pour la brioche, ce fut simple : j'ai repris la recette du chinois, de elle même empruntée à Manue. Pour le final, ce furent quelques gros grains de sucre délicatement déposés en surface. Les plus sages la mangèrent nature, les autres y mirent du chocolat, certains réclamèrent de la confiture ou, pire, du Nutella. Voici donc la :

    BRIOCHE TOUTE SIMPLE

    Pour la brioche, il faut :

    • 55 g de beurre fondu
    • un gros oeuf + un autre
    • 10 cl de lait tiède
    • 25 g de cassonade
    • un demi-cuillère à café de sel
    • 260 g de farine
    • un sachet de levure de boulanger
    • 40 g de sucre en gros grains - ou mieux, du sucre d'érable !

    Mettre dans la MAP le beurre, l'oeuf, le lait, le sucre, le sel, la farine et la levure. Lancer un programme "Pétrissage ou pâte seule".

    Sortir le pâton et le pétrir avant de former trois boules.

    Disposer les boules dans un moule à cake (j'ai choisi mes moules Panibois) et laisser gonfler une bonne heure et demie.

    Préchauffer le four à 180° (th 6). Badigeonner la brioche de l'oeuf battu et déposer délicatement les petits grains de sucre. Cuire une bonne demi-heure.

    BRIOCHE

    Remarques :

    • Pas grand-chose à dire, sinon qu'elle était parfaite...
    • Certains m'ont suggéré d'ajouter des pépites de chocolat, mais je pense que la pâte en aurait été moins aérée.
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  • Oeufs à la neige, aux pistaches et aux pralines

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    Quand j'étais petite, les oeufs à la neige étaient le dessert préféré de mon papa. Donc je n'ai eu de cesse d'en faire pour lui plaire. Mais si j'ai réussi sans trop de difficulté la maîtrise de la crème anglaise, les oeufs en soi m'ont toujours posé problème. Magnifiques et rebondis alors qu'ils étaient fraîchement battus, ils se métamorphosaient en pauvres crottes blanchâtres, voire grisâtres dès qu'ils étaient cuits.

    J'ai fini par savoir pourquoi : par souci de perfection, je les faisais pocher dans le lait, ce qui les rendaient gris. Par souci de sur-perfection, je les faisais trop cuire, d'où le ratatinage. Mais ça y est, maintenant, c'est fini. Voici donc mes :

    OEUFS A LA NEIGE

    Pour 4, il faut :

    • Un demi-litre de lait
    • 8 cuillères à soupe de sucre en poudre
    • une pincée de sel
    • une gousse de vanille
    • 5 oeufs
    • une cuillère à soupe de pistache nature
    • une cuillère à soupe de pralines roses

    Mixer les pralines et les pistaches.

    Porter lentement le lait à ébullition avec 4 cuillères à soupe de sucre et la vanille.

    Séparer les blancs des jaunes et verser un peu de lait bouillant sur les jaunes en les travaillant avec une cuillère en bois.

    Reverser le mélange dans la casserole de lait retirée du feu en continuant de mélanger.

    Remettre la casserole sur feu doux et tourner jusqu'à ce que la crème nappe la cuillère. Laisser refroidi.

    Faire bouillir de l'eau dans une large sauteuse. Battre les blancs en neige très ferme avec la pincée de sel. A mi-opération, ajouter deux cuillères de sucre.

    Quand l'eau frémit, déposer de grosses cuillères de blanc. Au bout de quatre ou cinq secondes, les retourner et les sortir après le même temps. Les égoutter sur du papier absorbant.

    Réserver les blancs et crème au frais et ne les assembler qu'au moment de servir.

    Les arroser d'un très léger filet de caramel (2 cuillères à soupe de sucre, une d'eau), saupoudrer de pistaches et de pralines.

    oeufs_neige_001

    Remarques :

    • Ne pas hésiter à changer le papier absorbant avant de mettre au frais les blancs.
    • L'association praline-pistache sur le caramel (que j'ai piquée à un restaurant auquel je suis fidèle) relève la "fadeur" du plat.

    OEUFS_A_LA_NEIGE

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  • Gâteau court et dodu appelé Petite Madeleine...

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    Il y avait déjà bien des années que, de Combray, tout ce qui n'était pas le théâtre et le drame de mon coucher, n'existait plus pour moi, quand un jour d'hiver, comme je rentrais à la maison, ma mère, voyant que j'avais froid, me proposa de me faire prendre, contre mon habitude, un peu de thé. Je refusai d'abord et, je ne sais pourquoi, me ravisai. Elle envoya chercher un de ces gâteaux courts et dodus appelés Petites Madeleines qui semblent avoir été moulés dans la valve rainurée d'une coquille de Saint-Jacques. Et bientôt, machinalement, accablé par la morne journée et la perspective d'un triste lendemain, je portai à mes lèvres une cuillerée du thé où j'avais laissé s'amollir un morceau de madeleine. Mais à l'instant même où la gorgée mêlée des miettes du gâteau toucha mon palais, je tressaillis, attentif à ce qui se passait d'extraordinaire en moi. Un plaisir délicieux m'avait envahi, isolé, sans la notion de sa cause. Il m'avait aussitôt rendu les vicissitudes de la vie indifférentes, ses désastres inoffensifs, sa brièveté illusoire, de la même façon qu'opère l'amour, en me remplissant d'une essence précieuse : ou plutôt cette essence n'était pas en moi, elle était moi.

    Marcel PROUST, Du Côté de chez Swann, 1913.

    Non, vous ne vous êtes pas égarés dans ma rubrique "Littératures gourmandes", il s'agit bien d'une recette. Mais je n'ai pas résisté à vous servir en préambule ces lignes de Marcel PROUST que je trouve absolument fabuleuses : tout est pesé, tout tombe parfaitement, comme du Saint-Laurent dirait Carla BRUNI, pas un mot de trop, et surtout, cette précision du sentiment, cette perfection dans la restitution de la sensation. Oserais-je après cela vous servir mes madeleines à moi ? Oui, j'ose. Voici donc mes :

    PETITES MADELEINES

    Pour une trentaine de madeleines, il faut :

    • 120 g de farine
    • 180 g de sucre
    • 5 oeufs
    • 200 g de beurre
    • 2 cuillères à café d'extrait de vanille liquide
    • un sachet de levure
    • une pincée de sel

    Faire fondre le beurre.

    Battre les oeufs avec le sucre et la vanille.

    Ajouter la farine, mêlée à la levure et au sel. Ajouter ensuite la farine et bien mélanger.

    Laisser reposer une heure.

    Préchauffer le four à 180° (th 6) et remplir les moules. Enfourner et cuire une petite vingtaine de minutes. Démouler les madeleines encore chaudes et laisser refroidir sur une grille.

    madeleines_001

    Remarques :

    • C'était ma première recette de madeleine : la prochaine fois, je mettrai moins de beurre et de sucre.
    • Petit conseil : utiliser des moules en silicone et les poser bien à plat sur la grille, sinon, la pâte va s'enfuir. Je le sais, je l'ai testé !

    MADELEINES

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  • Mardi-Gras sponsorisé

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    Mon ASTRO 2007 de ELLE me l'avait prédit : "Après les vaches maigres de Saturne, sa solitude, ses poids, ses désillusions, voici jupiter et ses vaches grasses ! (...) Voici de nouvelles têtes, d'autres champs d'action, des chances de vous épanouir moralement et matériellement." Eh bien tout ça, c'est vrai, ça marche !

    Moralement d'abord, puisque depuis quelques semaines, je reçois plein de messages extrêmement gentils concernant ce blog et ses contenus, ce qui flatte énormément mon ego, et matériellement ensuite, puisque via Ma Cuisine rouge, Francine la farine bien connue m'a proposé de sponsoriser mon Mardi-Gras. Oh, je n'ai pas l'outrecuidance de penser être la seule élue, mais néanmoins, je dois dire que j'ai sauté sur l'occasion puisque depuis des mois, la Francine fluide est introuvable dans les rayons de mon hyper, et que mon verre doseur est fendu. Or monsieur Francine me proposait un paquet de farine ET un verre pour tester la fameuse recette qu'ils ont imaginé : 4-3-2-1.

    Ce matin, j'ai donc reçu mon paquet. Et là, petite surprise : il ya avait bien un verre, mais de doseur point : c'était un joli verre tout rond, certes, mais tout verre aussi. En même temps, pour appliquer leur recette-miracle, il n'en fallait pas plus. J'ai donc décidé de ne PAS faire ma recette habituelle et de tester la recette Francine. Voici donc les :

    CRÊPES FRANCINE

    Il faut :

    • 4 verres de lait
    • 3 oeufs
    • 2 verres de farine
    • une pincée de sel
    • un sachet de sucre vanillé
    • une cuillère à soupe de fleur d'oranger
    • une cuillère à soupe d'huile

    Mélanger le sel, le sucre, les oeufs et la farine. Ajouter le lait petit à petit, puis la fleur d'oranger.

    Laisser reposer une heure au moins. Au moment de faire les crêpes, ajouter l'huile.

    Graisser la poêle et... agissez !

    cr_pes_002

    Remarques :

    • J'ai franchement été dubitative durant la préparation : je trouvais ma pâte trrrès liquide, mais en fait non ! Les crêpes sont légères, un peu croustillantes sur les bords, très bonnes, quoi !

    • On peut sucrer davantage, ou changer l'aromatisation, tout est possible !

    cr_pes_004

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  • Le retour de la bugne !

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    Eh oui, ça y est, c'est reparti : Février + Lyon = bugnes. Cette année, j'ai donné dans la version flemmarde : la recette de l'année dernière, mais à la MAP. Voici donc les :

    BUGNES VERSION MAP

    • 1,5 dl de lait
    • un sachet de levure de boulanger lyophilisée
    • 75 g de beurre demi-sel
    • 350 g de farine
    • 1 pincée de sel
    • 50 g de sucre
    • Le zeste d'une orange
    • 2 oeufs
    • Huile de friture (aujourd'hui, c'était Frial)
    • Sucre glace

    Verser dans la MAP : le lait, le beurre fondu, les oeufs, le zeste d'orange, la farine, le sucre et la levure de boulanger. Lancer un programme Pâte seul et attendre une heure trente.

    Fariner le plan de travail et étaler la pâte le plus finement possible. Découper les bugnes puis les inciser en leur centre pour passer la pâte à l'intérieur.

    Faire frire rapidement les bugnes sur chaque face et les saupoudrer de sucre glace avant de servir.

    cuisine,dessert

    Remarques :

    • J'ai préféré garder les zestes un peu longs plutôt que de les râper, c'est bien meilleur, selon moi...
    • Etaler la pâte le plus finement possible, les bugnes n'en seront que meilleures !

    Et pour les bugnes plates, c'est ICI.

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  • Cake d'automne - mon délice et mon drame...

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    Que je vous explique le pourquoi de mon titre : j'adore les cakes ! Avec une préférence pour ceux aux fruits secs, que je baptise "d'automne" parce que j'en ai envie. Le problème, c'est qu'à la maison, je suis un peu la seule à les apprécier. Et que un cake entier, même en le mangeant au goûter et au petit-déjeuner trois jours durant, ça finit par faire beaucoup. Néanmoins je persiste. D'abord parce que, je me répète, c'est très bon ; ensuite parce que les fruits secs, c'est très bon pour la santé, tous les magazines vous le diront, et que je trouve plus facile de manger lesdits fruits secs entourés de pâte que natures ! Pour toutes ces raisons, voici donc le :

    CAKE D'AUTOMNE AUX FRUITS SECS

    Pour 4, il faut :

    • 3 oeufs
    • 140 g de beurre demi-sel
    • 200 g de farine à poudre levante
    • 140 g de sucre roux
    • 50 g d'amandes effilées
    • 50 g de noisettes
    • 50 g d'abricots secs
    • 50 g de raisins secs

    Préchauffer le moule à 210° (th 7).

    Battre ensemble les oeufs et le sucre jusqu'à ce que le mélange mousse. Ajouter alors la farine.

    Faire fondre le beurre, l'incorporer au mélange et ajouter éventuellement quelques gouttes de lait pour détendre la pâte.

    Couper les abricots secs en quatre. A l'aide d'une spatule, intégrer à la pâte les amandes, les noisettes, les raisins et les abricots secs.

    Verser la préparation dans le moule et enfourner en ramenant la température à 200°. Puis la descendre à 180° (th 6) au bout de vingt minutes.

    Laisser cuire 50 minutes environ. Tester la cuisson à l'aide d'un couteau.

    Neige_009

    Remarques :

    • Evidemment, avec ces grands froids, rien ne vaut une bonne tranche tartinée de beurre, histoire de préserver son taux d'acides gras !
    • Mais au goûter, avec un thé épicé, c'est fabuleux aussi !

    CAKE_D_AUTOMNE

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  • Gelée de litchi à la meringue italienne glacée

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    La recherche du dessert parfait est une quête sans fin. Sans compter la relativité de cette perfection : ce soir-là, le dessert parfait, c'était un dessert léger, qui conclue délicieusement le repas sans alourdir les papilles. C'est ainsi que je me suis arrêtée sur la recette proposée par REGAL. Gelée, litchi, meringue, tout me parlait légèreté. Pourquoi italienne, la meringue ? je n'en savais trop rien. Mais j'ai tenté. Le résultat est beaucoup plus photogénique dans les pages de REGAL mais nous nous sommes régalés : doux, frais, léger, c'était bien le dessert parfait. Voici donc la :

    GELEE DE LITCHI A LA MERINGUE ITALIENNE GLACEE

    Pour 6, il faut :

    • 4 oeufs
    • 200 g de sucre semoule
    • un citron
    • 4 feuilles de gélatine
    • 2 boîtes de litchi de 450 g
    • 3 pincées de vanille en poudre
    • 2 pincées de poivre

    Séparer les blancs de jaunes. Battre les blancs en neige ferme et réserver.

    Faire fondre le sucre dans 7 cl d'eau pendant une quinzaine de minutes pour arriver au "petit boulé" (120° selon la recette de Régal, au jugé, tant que le sucre reste blanc mais commence à épaissir selon moi). Ajouter en toute fin quelques gouttes de citron et verser aussitôt ce sirop sur les blancs sans cesser de fouetter jusqu'à ce que le mélange soit bien lisse, brillant et froid. Réserver au moins une heure au congélateur.

    Mettre les feuilles de gélatine à tremper.

    Faire chauffer à feu doux  le sirop d'une boîte de litchis dans une casserole à fond épais. Lorsque le sirop est chaud, arrêter la cuisson. Essorer les feuilles de gélatine et les incorporer au sirop en remuant avec un fouet. Laisser le mélange revenir à température ambiante.

    Verser le sirop tiède dans des verrines et les mettre au réfrigératuer au moins trois-quarts d'heure.

    Couper chaque litchi en quatre ou cinq morceaux. Ajouter le poivre et la vanille et mélanger. Réserver au frais.

    Lorsque la gelée est prise, répartir les litchis dans les verres et recouvrir de meringue. Garder au réfrigérateur jusqu'au moment de servir.

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  • A déguster avec un thé de Noël : gâteau à l'orange et aux graines de pavot

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    Il y avait deux oranges qui traînaient dans la corbeille... Des graines de pavot au fond du placard, attendant de venir décorer d'hypothétiques pains... Le livre de Pascale sur l'étagère... Tous les ingrédients pour produire un savoureux gâteau de goûter, à déguster avec un thé de Noël, doucement épicé. Voici donc le :

    GÂTEAU A L'ORANGE ET AUX GRAINES DE PAVOT

    Pour 8, il faut :

    • 250 g de farine à levure incorporée
    • 25 g de poudre d'amande
    • 175 g de beurre demi-sel
    • 150 g de sucre
    • 4 oeufs
    • 2 cuillères à soupe rases de graines de pavot
    • le jus d'une orange et le zeste d'une autre

    Préchauffer le four à 180° (th 6). Beurrer un moule à gâteau de 23-25 cm.

    Faire fondre le beurre et le mélanger au sucre pour obtenir un mélange crémeux.

    Ajouter les oeufs un par un en mélangeant bien à chaque fois. Incorporer la farine, la poudre d'amande, les graines de pavot et le zeste d'orange râpée.

    Finir par le jus d'orange et bien mélanger.

    Verser la pâte dans le moule et enfourner pendant 25-30 minutes : la lame du couteau doit ressortir sèche.

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    Remarques :

    • J'ai quelque peu modifié la recette de Pascale : elle faisait mettre de la levure, en plus de la farine à poudre levante, ce qui ne me semblait pas très utile : la légèreté du gâteau parle pour lui...
    • Le contraste moelleux du gâteau-croustillant des petites graines est délicieux
    • Je craignais un côté douceâtre, genre biscuits Chamonix de notre enfance, mais pas du tout : l'orange donne un parfum délicat et pas du tout envahissant !

    GATEAU_A_L_ORANGE_ET_PAVOT

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