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viande - Page 3

  • Un boucher dans mon ordi ?

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    Que les choses soient claires : je suis une inconditionnelle de mon boucher ! C'est un genre de tradition familiale. Chez moi, on a toujours acheté sa viande chez un boucher, un vrai, celui qui vous dit combien de temps cuire ce rôti, qui vous donne le petit truc qui va tout changer ou encore, tout simplement, vous propose des idées quand la pauvre ménagère que vous êtes sèche désespérément face à cette question cruciale : "Qu'est-ce je vais faire aujourd'hui ?"

    En même temps, je dois reconnaître que j'ai toujours eu de la chance avec mes bouchers : où que j'ai habité, j'ai toujours trouvé un professionnel digne de ce nom, qui m'a toujours proposé de la viande de qualité.

    Je peux comprendre que tout le monde n'ait pas cette chance. Que tout le monde n'ait pas toujours envie d'aller faire la queue une demi-heure un samedi matin parce que TOUT LE MONDE fait ses courses le samedi matin à la boucherie et qu'il vaut mieux être passé à la boulangerie avant, parce que ça permet de grignoter la moitié de la baguette... Que tout le monde n'ait pas de professionnel digne de ce nom à sa porte - ou, pour être plus juste - que tout le monde n'ait pas de temps pour rechercher ce professionnel digne de ce nom, car il existe forcément, c'est obligé, limite scientifique !

    Dans ce cas, j'ai une solution à vous proposer : www.iboucherie.fr. C'est quoi, ça, allez-vous grommeler ? Eh bien... comme son nom l'indique, il s'agir d'une boucherie traditionnelle, mais planquée dans l'ordinateur. Autrement dit un boucher en ligne ! Quelqu'un qui quatre fois par semaine achète sa viande à Rungis, la garde au frais, et qui la livre chez vous dans les vingt-quatre heures. Qui vous propose du boeuf Angus, du boeuf, charolais, de l'agneau, du veau, du porc ou de la volaille, et même de la charcuterie.

    Alors, plus d'excuses genre "oui, mais toi c'est facile, tu as un vrai boucher"... Le boucher, vous pouvez le trouver et il fait même la livraison de viande. Suffit de le chercher...
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  • Express et light : la blanquette de veau "moderne"

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    C'est drôle, la plupart des blanquettes de veau sont toujours dites "à l'ancienne". Pourtant, honnêtement, je ne vois pas vraiment ce qu'il y a 'd'ancien" à mettre de la viande à bouillir avec un bouquet garni et quelques aromates - c'est plutôt intemporel... Mais si j'ai baptisé (pompeusement) ma version "moderne", c'est parce que d'une part elle est rapide à faire (je ne vous ressortirai pas ici le couplet de la femme pressée mais le coeur y est) et qu'elle est légère, puisque la crème a disparu au profit du lait ribot, dont j'ai déjà parlé - qui a dit "obsession ? Voici donc la :

    BLANQUETTE DE VEAU "MODERNE"

    Pour 4, il faut :

    • 2 cuillères à soupe pleines de farine
    • un kilo de veau : épaule, tendrons...
    • 40 g de beurre
    • un oignon
    • 4 clous de girofle
    • un bouquet garni
    • sel et poivre
    • un jaune d'oeuf
    • 3 cuillères à soupe de lait ribot
    • un quartier de citron
    • du persil ciselé

    Faire revenir légèrement la viande dans l'auto-cuiseur avec le beurre. Saler et poivrer, puis saupoudrer de farine et bien mélanger.

    Ajouter un bol d'eau, l'oignon piqué des clous de girofle, le bouquet garni, et fermer la cocotte. Faire monter la pression (position 2) et cuire vingt-cinq minutes à partir du chuchotement.

    A l'issue de la cuisson, préparer la sauce : délayer le jaune d'oeuf, le lait ribot et le jus de citron. Ajouter une bonne louche de bouillon.

    Servir la viande avec du riz blanc (ou des pommes de terre-vapeur), nappée de sauce et saupoudrée de persil.

    blanquette veau.jpg

    Remarques :

    • Rien à dire pour moi : j'adore la blanquette de veau et le lait ribot lui ajoute une petite touche de légèreté sans lui faire perdre son onctuosité
    • A savoir : il faut TOUT manger, car la blanquette ne supporte pas le réchauffage...
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  • Valeur sûre : le poulet à la Provençale

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    Certains diront que la recette est bête à pleurer. D'autres que tout le monde la fait. D'autres encore - les sages - répliqueront que qu'importe que cette recette soit connue, facile à faire et déclinable à l'envi, puisqu'elle est tout simplement délicieuse ! Voici donc le :

    POULET A LA PROVENÇALE

    Pour 4, il faut :

    • 4 cuisses de poulet
    • 4 tomates
    • 2 poivrons
    • 2 gousses d'ail
    • un oignon
    • quelques olives noires
    • 25 cl de vin blanc
    • 3 cuillerées à soupe d'huile d'olive
    • une branche de thym
    • une branche de romarin

    Découper les cuisses de poulet en deux.

    Peler les tomates, les épépiner et les découper en gros dés.

    Faire dorer les cuisses de poulet dans la cocotte avec l'huile d'olive.

    Peler et hacher l'ail et l'oignon et les ajouter dans la cocotte en les laissant fondre.

    Tailler les poivrons en lanières et les disposer dans la cocotte. laisser cuire trois minutes puis ajouter les tomates et le vin blanc.

    Faire bouillir quelques instants le vin blanc, puis assaisonner et ajouter enfin les olives, le thym et le romarin. Laisser alors cuire à feu moyen pendant quarante-cinq minutes. Ou plus... disons jusqu'à ce que vous passiez à table...

    Poulet

    Remarques :

    • Ne vous fiez pas la photo, très moche : je l'ai prise le lendemain, après réchauffage, et toutes les olives avaient été mangées !
    • Vous trouverez une bien plus belle image de la recette en couverture du magazine Saveurs de Juillet-Août 2008...
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  • Rôti de dinde au chou

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    D'accord, d'accord, pas très pascal, ce que je vous propose... Mais d'abord, est-ce ma faute si j'ai oublié de photographier la fabuleuse épaule d'agneau presque confite de samedi ? ou le gigot de dimanche ? Et puis, quand je me tourne vers la fenêtre ce matin, que vois-je ? La même chose qu'hier, à savoir la neige qui tombe ponctuellement mais régulièrement. Donc plat d'hiver !

    Et justement, dans le dernier panier des Bios de Feuilly, il y avait... un chou ! J'imagine que je ne suis pas la seule à avoir pensé in petto "pourvu que ce soit le dernier". Parce que les légumes d'hiver, c'est comme les vêtements d'hiver : ce n'est pas qu'on ne les aime pas, c'est juste QU'ON NE PEUT PLUS LES VOIR EN PEINTURE !!! Tous les matins, je pleure devant mon armoire à la perspective de remettre le pull que je traîne depuis novembre !

    Pourtant il y avait ce chou. Et une furieuse envie de pintade. je filai donc chez mon boucher pour me satisfaire. Et là, choc : à part un poulet - énorme - point de volaille annexe ! Il saisit toute l'ampleur de mon désespoir et me proposa alors une cuisse de dinde. Je lorgnai la chose de la taille d'un boomerang et dus avoir une moue pour le moins sceptique.

    "Mais si, désossée et roulée en rôti, vous allez vous régaler...

    - Oui, mais moi, je voulais la faire au chou...

    - Eh bien vous la faites comme d'habitude, je vous laisse les os pour le goût."

    J'ai quand même pris aussi du lard fumé (on n'est jamais trop prudent) et je suis rentrée chez moi. Vous le croirez si vous voulez, mais il avait raison : la cuisse de dinde en rôti, c'est délicieux, très goûteux et pas sec du tout. Et mijoté une bonne heure et demie dans le chou, c'est excellent. Voici donc la :

    RÔTI DE DINDE AU CHOU

    Pour 4, il faut :

    • un chou vert
    • une cuisse de dinde désossée et ficelée en rôti
    • une tranche de lard fumé coupé en petits lardons
    • une échalote
    • un demi-verre de vin blanc
    • 3 cuillères d'huile
    • du sel et du poivre
    • les os de la cuisse de dinde

    Couper le chou et le trancher en lamelles d'un bon centimètre. L'immerger dans une cocotte-minute pleine d'eau bouillante salée et laisser cuire cinq minutes à partir du chuchotement de la soupape.

    Égoutter et passer sous l'eau froide pour stopper la cuisson.

    Dans une cocotte en fonte, faire revenir dans l'huile une échalote émincée avec les lardons, puis le rôti sous toutes les coutures. Lorsqu'il est doré,  ajouter le chou et un demi-verre de blanc. Bien mélanger, déposer les os, couvrir et laisser mijoter à feu très doux pendant une heure et demi au moins en remuant régulièrement.

    roti_dinde___chou

    Remarques :

    • C'est le genre de plat qui supporte très bien le réchauffage...
    • Je vous conseille le rôti de cuisse de dinde !
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  • Hachis parmentier pour voix cassées

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    Depuis trois jours, je vis un drame. Je suis aphone. Ça a commencé vendredi matin : à 8h00 ma voix mélodieuse résonnait dans la salle de classe, à 10h00, elle était déjà plus éraillée, à 14h00, elle évoquait Mylène Farmer dans ses plus grands solos. Professionnellement, c'est gênant. Les élèves ont beau être prévenants et chuchoter pour vous parler, vient toujours le moment où il faut s'adresser à eux pour lancer "Prenez vos cahiers de textes" et où plus personne n'entend plus rien, surtout que la sonnerie - stridente chez nous - retentit...

    Le problème, c'est que de faible et éraillée vendredi soir, ma voix est devenue inexistante samedi matin. Évidemment, ça peut avoir un côté comique : vous avez l'impression d'être BernardoBernardo, le domestique muet de Zorro... Les gens qui arrivent vers vous pour vous saluer d'une voix de stentor se mettent brusquement à chuchoter... Le pire ? mon mari, qui confond mutisme et surdité et se croit obligé de répéter à voix haute et forte ce que je mime en chuchotant...

    L'embêtant, avec tout ça, c'est le téléphone : vous n'imaginez pas le drame de l'incorrigible bavarde qui se voit contrainte de laisser sonner le téléphone parce qu'elle ne pourra rien dire si elle décroche ! A côté, le supplice de Tantale, c'est de la gnognote ! Pour en finir avec ça, je vous propose de vous réconforter avec une recette grand classique de l'art d'accommoder les restes, mais qui marche cependant à chaque fois : le hachis parmentier. Lassés de manger la viande de notre dernier pot-au-feu et soucieuse d'utiliser un reste de farce à tomate congelé, j'ai décidé de faire dans le roboratif. Voici donc le :

    HACHIS PARMENTIER

    Pour 4-6, il faut :

    • environ 300 g de viande de pot au feu
    • un kilo de pommes de terre
    • 20 cl de crème fraîche
    • 200 de chair à saucisse
    • une cuillère à soupe de persil haché
    • une gousse d'ail
    • un oeuf
    • un peu de chapelure

    Faire cuire les pommes de terre avec la peau. Les peler puis les écraser à la fourchette avec la crème fraîche, saler et poivrer. Rajouter éventuellement un peu de lait si le mélange est trop épais.

    Hacher la viande du pot-au-feu et la mêler à la farce, c'est-à-dire la chair à saucisse, l'ail pressé, le persil et l'oeuf.

    Beurrer un plat à gratin. Y déposer une couche de pommes de terre, puis recouvrir de toute la viande. Finir avec le reste de pommes de terre.

    Saupoudrer de chapelure et mettre au four à 18° (th 6) pendant une bonne demi-heure.

    hachis_parmentier

    Remarques :

    • La photo de Bernardo est issue d'un site très rigolo que j'ai découvert pour l'occasion ici.
    • Ma farce se compose normalement de viande de boeuf pour deux tiers et de chair à saucisse ; j'ai modifié ici légèrement les proportions.
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  • Spécial retour du froid : pot-au-feu express

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    D'aussi loin que je me souvienne, j'ai toujours été sensible aux odeurs. Bonnes ou mauvaises. Je n'aime pas l'odeur de ma maison lorsque nous rentrons après une semaine d'absence. "Mais ça ne sent rien !" Eh bien, si, ça sent : un léger parfum de renfermé, mêlé à celui du plâtre. Je me rappelle encore l'odeur qui régnait dans une boulangerie, fermée depuis longtemps maintenant, sur le chemin de ma première école. Une véritable odeur de pain cuit, chaude et farineuse, qui n'avait rien à voir avec les pauvres arômes de synthèse dont nous gratifient les Points-chauds aujourd'hui.

    Je suis une inconditionnelle des diffuseurs d'huiles essentielles et autres bougies, que je fais évoluer au fil des saisons : avec l'hiver, c'est vers la cannelle et les odeurs ambrées que vont mes préférences.

    Il m'arrive de faire du pain ou un gâteau uniquement pour sentir l'odeur envahir la maison. Je ne trouve rien de plus accueillant que les odeurs de cuisine. Mais attention, pas n'importe quelle odeur : je suis une paranoïaque de la friture. Globalement, je n'utilise ma friteuse que lorsqu'il fait beau, car je peux la mettre dehors...

    Je peux programmer mon four pour rentrer chez moi avec l'odeur de cuisson d'un plat : quoi de plus accueillant ? Et quoi de plus réconfortant ? C'est dans cette perspective que le froid de ce matin m'a donné une furieuse envie de pot-au-feu. Seulement, j'ai déjà raconté mes matinées du mercredi pour le moins occupées. Je suis donc allée flâner du côté du manuel de la cocotte-minute et j'y ai trouvé cette recette express(e) : en une heure et quart, le pot-au-feu était prêt. Et la maison embaumait le clou de girofle... Voici donc le :

    POT-AU-FEU EXPRESS

    Pour 4, il faut :

    • un bon kilo de viande faite pour ça (j'avais du jumeau et du plat de côtes)
    • un os à moelle
    • 2 poireaux ficelés
    • 2 carottes
    • 2 navets
    • un oignon piqué de 3 clous de girofle
    • une gousse d'ail
    • un bouquet garni
    • du gros sel
    • un kilo de pommes de terre

    Verser dans la cocotte deux litres d'eau salée. Y plonger les poireaux, les carottes, les navets, l'ail, l'oignon et le bouquet garni.

    Porter à ébullition et ajouter la viande à ce moment-là. Fermer la cocotte et mettre la soupape en position 2.

    Baisser le feu et laisser chuchoter pendant quarante-cinq minutes.

    Parallèlement, faire cuire les pommes de terre épluchées.

    Au bout des quarante-cinq minutes, ouvrir la cocotte pour ajouter l'os à moelle. Refermer et laisser à nouveau cuire une dizaine de minutes.

    Servir quand vous voulez...

    pot_au_feu

    Remarques :

    • Aucune, si ce n'est que le bouillon est à tomber !
    • Attention à ne pas remplir la cocotte au delà des deux tiers, sinon elle risque de déborder avec l'écume...
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  • Coco ragoût pour femme pressée

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    Le mercredi, c'est le jour des enfants, traditionnellement. Et celui des mamans, inévitablement. J'ai la chance (?) d'exercer un métier qui me permet de suivre le rythme scolaire. C'est ainsi que le mercredi, tandis que l'époux se lève et part gagner sa croûte, je peux savourer ce petit moment (oh, un petit quart d'heure souvent, parfois moins, parfois un peu plus) où je reste somnoler avant de mettre un pied par terre.

    Et puis tout s'enchaîne. Le petit débarque, tout ensommeillé : "A fait gros dodo, Maman ?" - Bien sûr, mon ange, si on excepte tes deux cauchemars à une heure et quatre du matin... Début de petit-déjeuner, puis apparition de la grande soeur qui expédie le sien, lançant à la cantonade "Je peux regarder la télé, oh, juste dix minutes, après je me prépare, tu me sors mes vêtements." On débarrasse, on s'habille, on habille le petit - qui curieusement a une furieuse envie de jouer à cache-cache à ce moment-ci - et on commence à hurler à intervalles réguliers à la grande : "Pauliiiiine, habille-toi ! Lave-toi ! Peigne-toi ! Dépêche-toi !"

    Et bon an mal an, il est neuf heures et quart, nous sommes fin prêts pour nous rendre au gymnase, c'est l'École du Sport du mercredi matin. Neuf heures quarante, la grande est casée, reste le petit et les courses. Le temps d'aller de la viande, le pain, le journal, il est dix heures et demi. Et qu'y avait-il dans le panier des Bios de Feuilly ce mardi ? De jolies choses rose violacé veinées de blanc : des haricots coco ! et que faire des haricots coco ? Eh bien, un ragoût, pardi ! Bien mijoté, bien goûteux, bien savoureux... en moins d'une heure trente !

    Et c'est là qu'intervient une invention que j'ai l'intention de solliciter de plus en plus cette année : la Cocotte-Minute ! Et hop, au boulot :

    10h35 - 10h55 : écossage des jolis haricots ; on essaie d'impliquer l'enfant curieux que l'on est soucieuse d'éveiller au fabuleux monde des senteurs et des saveurs (tout en hurlant : "noooon, pas dans la bouche !")

    10h55 - 11h00 : lavage rapide, mise en cocotte et c'est parti pour un petit quart d'heure.

    11h13 : départ au gymnase pour récupérer la sportive et sa copine.

    11h30 - 11h35 : retour à la maison avec lâchage de la voisine à sa mère - débriefing  rapide sur la première séance et programme des activités à venir.

    11h35 : règlements des conflits surgis durant l'absence : "Hiiii, il a tout cassé dans ma chambre ! JE NE VEUX PLUS TE VOIR, SORS D'ICI IMMÉDIATEMENT !!!" - menaces de privation de télé pour des durées variées et indéterminées - retour en cuisine

    11h38 - 12h00 : opération ragoût.

    12h00 - 12h10 : débarrassage du lave-vaisselle, mise de la table.

    12h20 : arrivée de l'époux : "Dis donc, tu en mis du temps, il y a eu un problème ? Parce qu'ici, tout est prêt !"

    Après cette tranche de vie qui, j'en suis sûre, trouvera écho chez un certain nombre, voici donc le :

    COCO RAGOÛT POUR FEMME PRESSÉE

    Pour 4, il faut :

    • 400 g de haricots coco frais
    • un kilo de collier d'agneau coupé en morceaux
    • deux oignons
    • une tomate
    • une gousse d'ail deux branches de thym
    • une feuille de laurier
    • 25 g de beurre
    • une cuillère à soupe d'huile
    • deux cuillères à soupe de farine

    Écosser et laver les haricots. Les mettre dans la Cocotte-Minute avec un brin de thym, une feuille de laurier et un oignon, et les recouvrir d'eau. Fermer et laisser cuire 8 minutes à partir du moment où la soupape chuchote. A l'issue de la cuisson, égoutter les haricots et réserver.

    Émincer l'oignon. Faire fondre dans la Cocotte-Minute le beurre et l'huile et y faire revenir la viande farinée. Ajouter l'oignon peu après et laisser dorer pendant quelques minutes. Saler et poivrer.

    Verser sur la viande trois verres d'eau, la tomate découpée en dés, une branche de thym et la gousse d'ail écrasée. Fermer la Cocotte-Minute et laisser cuire 6 minutes à partir du moment où la soupape chuchote.

    Ouvrir la Cocotte-Minute et ajouter les haricots. Bien mélanger puis refaire cuire 10 minutes après le chuchotement de la soupape.

    Ouvrir et laisser mijoter jusqu'au moment de servir.

    Rago_t_agneau

    Remarques :

    • Ne pas saler l'eau de cuisson des haricots, cela les durcit.
    • Ça marche vraiment en une heure trente !!!
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  • Clin d'oeil aux Bios de Feuilly : la potée !

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    Aujourd'hui, dans mon jardin, le thermomètre affiche fièrement son 27° !

    Seulement cette semaine, dans mon panier bio, il y avait un magnifique chou, tout rond, tout dodu, pommelé, quoi ! Et ce chou n'appelait qu'une chose : une potée.

    Pot_e

    Ainsi soit-elle : dégustée ce midi, en transpirant légèrement, mais en se régalant cependant... Pour la recette, c'est toujours celle de ma belle-mère et elle est ici.

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  • Le steak haché du mercredi

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    Enfin, moi, ce que j'en dit... mercredi, mais cela peut être samedi ou lundi ! L'important, c'est juste de disposer de trente petites minutes devant soi... j'ai trouvé la recette dans le premier livre de Cyril LIGNAC, Cuisine Attitude, et la recette fait un tabac à chaque fois, chez les petits comme les grands ! Je la sers avec des frites quand j'ai la flemme de faire autre chose ou, comme ce jour-là, avec un mille-feuilles aubergines, courgettes, tomates et mozzarelle. voici donc :

    LE STEAK HACHE

    Pour 4, il faut :

    • 600 g de viande
    • un oignon
    • un demi-bouquet de persil
    • une cuillère à café de cumin en poudre
    • une cuillère à café de paprika
    • 2 cuillères à soupe d'huile d'olive
    • sel et poivre

    Mélanger dans un saladier la viande, l'oignon, le persil haché fin, une cuillère à soupe d'huile d'olive, le sel et le poivre. Diviser en quatre partie et reconstituer les steaks (un cercle est bien précieux...).

    Les laisser au réfrigérateur pendant 30 minutes.

    Faire chauffer le reste d'huile dans une poêle et y faire cuire les steaks à votre goût.

    STEAK_c_LIGNAC

    Remarques :

    • La recette peut se décliner en boulettes ou brochettes...
    • Plus les steaks attendant au frigo, meilleurs ils sont !
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  • Lapin à l'huile d'olive et au citron

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    Le lapin et moi, c'est une affaire de dévouement conjugal. Franchement, je n'ai jamais aimé vraiment ça. Je trouve la chair fadouillarde et, comble du comble, c'est plein d'os ! Des petits trucs qui viennent se planter dans vos gencives pour vous pourrir la vie ! Donc j'ai toujours plus ou moins éludé le lapin.

    Le problème, c'est que mon époux adore ça, lui, le lapin. Et que, du coup, histoire de combler mes manques, mes parents n'avaient pas de meilleure idée que de nous en faire régulièrement sous prétexte que "tu ne lui en fais jamais"... Il me fallait donc réagir : si je pouvais prouver à mes parents que, bien sûr que si, je lui cuisinais du lapin, peut-être qu'eux arrêteraient de se croire obligés de NOUS en cuisiner ! J'ai donc commencé à m'y mettre, comme ça, par exemple. Et puis, je me suis prise au jeu. C'est ainsi qu'hier, j'ai ouvert mon gros livre blanc marqué de la cuillère et j'ai déniché cette recette de lapin. Voici donc le :

    LAPIN A L'HUILE D'OLIVE ET A LA SAUGE

    Pour 6, il faut :

    • 5 cuillères à soupe d'huile d'olive
    • un brin de romarin haché
    • une feuille de sauge hachée
    • un brin de persil plat ciselé
    • une gousse d'ail
    • une feuille de laurier
    • un lapin coupé en morceaux
    • 20 cl de vin blanc sec
    • le jus de 2 citrons
    • sel et poivre

    Chauffer l'huile dans une cocotte avec le romarin, la sauge, le persil, l'ail et le laurier pendant 3 minutes.

    Ajouter le lapin et bien le faire dorer.

    Saler, poivrer et déglacer avec le vin blanc. Baisser le feu et laisser mijoter 45 minutes à couvert.

    Poursuivre la cuisson pendant 15 minutes à découvert. Si l'ail et le laurier sont encore visbles, les enlever et incorporer le jus de citron. Cuire 5 minutes à feu vif avant de servir sans attendre.

    lapin_002

    Remarques :

    • J'aimé la simplicité de cette recette : l'huile parfumée avec ces herbes et ces aromates souligne parfaitement le goût délicat de la chair lapine.
    • Pourquoi pas rendre moins "light" la recette en ajoutant de la crème au dernier moment ?

    LAPIN_A_L_HUILE_D_OLIVE_ET_AU_CITRON

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