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  • Flan au chocolat brut de brut

    Imprimer Catégories : Desserts

    Décidément, l'agar-agar m'a capturée ! Non contente d'avoir réussi mes flans à l'amande, je me suis lancée dans l'improvisation la plus folle et j'ai réalisé... un autre flan ! Mais attention, pas de ces flans lyophilisés comme j'en ai produit durant toute mon enfance - eh oui, ceux qui accompagnaient si bien le gâteau au yaourt et dont le nom commençait par un A...-, non un vrai, un authentique flan pur chocolat. Un truc ultralight en plus, puisque réalisé encore une fois au lait de soja, et sans sucre. Voici donc mon :

    FLAN AU CHOCOLAT BRUT DE BRUT

    Pour 6 verrines, il faut :

    • un demi-litre de lait de soja
    • 100 g de chocolat extra-noir
    • une cuillère à café d'agar-agar

    Faire chauffer le lait de soja et y faire fondre le chocolat coupé en morceaux. Lorsque le mélange est bien onctueux, ajouter l'agar-agar et laisser bouillir durant trente secondes.

    Verser dans des verrines, laisser refroidir avant d'entreposer au frais.

    Flan_chocolat_002

    Remarques :

    • Cette version brutale est à réserver aux "vrais" puristes. Pour les autres, ajouter un peu de sucre...
    • On peut faire bouillir le lait avec une gousse de vanille avant de faire fondre le chocolat, pour un goût plus doux.
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  • Flan d'amande ultra light

    Imprimer Catégories : Desserts

    Comme beaucoup, j'ai craqué sur le premier livre de Cléa, Agar Agar. Je me suis délectée à le feuilleter, j'ai battu des mains à l'idée de savoir enfin comment utiliser des ingrédients que j'avais achetés en magasin bio, cédant à la tentation, mais se sachant pas trop quoi en faire, et... je me suis lancée !

    Une de ses recettes, intitulée justement "Rêve d'orient" m'a bien fait voyager : un flan aux amandes et à la fleur d'oranger. Sauf que nous ne sommes pas très fleur d'oranger à la maison. Et que je recevais ce soir-là des personnes dotées d'un solide appétit. J'ai préféré "enrichir" le flan à l'amande avec un brownie. Excellente alliance d'ailleurs : la légèreté du flan au goût délicat d'amande et le consistant du chocolat. Voici donc le :

    FLAN D'AMANDE ULTRA LIGHT

    Pour 4, il faut :

    • 80 g de purée d'amande blanche
    • 3 cuillères à soupe de sirop d'agave
    • 200 ml de lait de riz
    • 2 grammes d'agar-agar

    Mélanger la purée d'amande et 3 cuillerées à soupe de sirop d'agave.

    Porter à ébullition le lait, 200 ml d'eau et l'agar-agar. Laisser frémir pendant trente secondes.

    Verser petit à petit sur la purée d'amande en délayant bien. Remplir quatre ramequins, laisser refroidir avant de placer au réfrigérateur.

    FLAN_NOISETTE_ET_MUFFIN

    Remarques :

    • J'ai adoré ce dessert ! Le goût de l'amande est merveilleusement délicat et la texture fondante à souhait.

    • En fait, le brownie, ce n'était pas la peine...

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  • Purée de rutabagas bio-bio

    Imprimer Catégories : Légumes

    L'un des plaisirs du panier des Bios de Feuilly, c'est le questionnement... Qu'allons-nous donc y trouver ? Cette semaine, parmi tous les légumes, il y avait ça :

    Rutabas_cru

    Pour beaucoup, ça ne veut pas dire grand-chose... Mais pour d'autres, cela rappelle ça :

    rationnement

    Eh oui, les tickets de rationnement et autres joyeusetés de la Seconde Guerre Mondiale... Parce que ce légume rebondi et dodu que j'ai affiché en haut de ma page, c'est...

    Je vous aide : c'est un "légume oublié" qui se consomme pourtant en France depuis la fin du XVIII° siècle. On l'a beaucoup donné au bétail et, par la force des choses aux Français vivant sous l'Occupation. Il est issu du croisement entre un chou et un navet, c'est... le rutabaga !

    Eh oui, un nom rigolo, mais qui ne fait pas franchement sourire les plus de soixante-dix ans. Il n'empêche. Nonobstant cette injuste réputation, il fallait bien le cuisiner. Or moi, le navet, ce n'est pas trop mon fort, alors un bâtard de navet... J'ai opté pour la solution la plus diplomatique qui soit - et la plus "neutre" pour les enfants : une purée. Mais alors, du basique : ni crème, ni beurre, rien. Et là, surprise : sous son léger goût de navet et de chou, le rutabaga révèle une saveur veloutée, proche de la châtaigne, qui se suffit à lui même. La bonne nouvelle : le rutabaga, non seulement c'est riche de plein de bonnes choses, mais en plus, c'est light et c'est bon ! Voici donc ma :

    PUREE DE RUTABAGAS

    Pour 4, il faut :

    • 5 rutabagas (soit un kilo environ)
    • 2 pommes de terre
    • du sel

    Peler et laver les rutabagas et les pommes de terre. Les découper en quartiers.

    Les déposer au fond de la cocotte-minute et les recouvrir d'eau salée.

    Faire chauffer et laisser cuire dix minutes après le chuchotement de la soupape.

    Récupérer les légumes et les mixer avec un peu de liquide de cuisson. servir tout simplement, chaud.

    Rutabas_cuit

    Remarques :

    • Bien sûr, vous pouvez ajouter beurre ou crème, mais je vous assure que nature, c'est très bon.
    • Avec du jus de viande, c'est un délice !
    • j'ai attaqué une période  "cocotte-minute" : j'ai décidé de rationaliser mes temps de cuisson !
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  • Momos à Kalimpong (K. CHODEN)

    Imprimer Catégories : Littérature gourmande

    Le_Cercle_du_karmaLe Cercle du karma, c'est d'abord l'histoire d'une femme : Tsomo, première fille mais troisième enfant d'une fratrie de douze. Tsomo la décidée, Tsomo la docile et pourtant révoltée, qui ne peut se résoudre à son destin de femme au Bhoutan, où le savoir est réservé aux hommes et qui voit, pleine de frustration, son père, religieux laïc, enseigner à ses frères mais pas à elle. C'est ainsi que le roman de Kunzang CHODEN est celui d'une quête, d'un voyage initiatique vers la paix et la sérénité, autant de choses que Tsomo trouvera, enfin, au terme de sa vie.

    L'extrait que j'ai choisi dévoile un aspect de la vie quotidienne, non pas au Bhoutan, que Tsomo a quitté à ce moment-ci, mais au Tibet, à Kalimpong très exactement. Tsomo et Dechen Choki, une jeune femme qu'elle a rencontrée au fil de ses pérégrinations, ont retrouvé le frère de Tsomo, devenu gomchen, autrement dit religieux. Ce dernier les invite au restaurant. Voici donc :

    MOMOS A KALIMPONG

    Tous trois quittèrent le dharamsala pour se rendre au restaurant dont Gyalsten Phuentso avait parlé. C'était une salle tout en longueur avec plusieurs tables et des chaises. Des gens y étaient attablés, dont certains levèrent les yeux à l'entrée des trois Bhoutanais, avant de replonger le nez dans leur assiette. Ils posèrent leurs bagages près d'une petite table qui se trouvaient juste à côté de l'entrée et s'assirent. Une vieille Tibétaine vint aussitôt leur demander ce qu'ils voulaient manger. Tout cela était très nouveau pour Dechen Choki et Tsomo. Elles étaient assises sur le bout des fesses, ne sachant trop quelle attitude adopter. Alors que tous les autres avaient l'air propre et frais, elles ne s'étaient pas lavées et se sentaient crasseuses. La salle était très décorée. Elles reconnurent la photo du Dalaï-Lama à l'autre bout de la salle. On avait tendu un khada dessus de la photo. Sur les murs, de grands posters de jolies femmes, de bébés, d'animaux, ainsi que des rangées de coquillages avec de belles formes et des torsions compliquées. Chaque table était ornée d'un vase coloré rempli de fleurs artificielles tout aussi colorées. Dechen Choki et Tsomo étaient fascinées. Tout était si joli, si différent de ce qu'elles avaient vu jusque là. Dechen Choki n'arrêtait pas de s'exclamer : "Regarde ce vase ! Regarde ce tableau !" Elles parlaient en chuchotant comme si elles craignaient de faire disparaître quelque chose en parlant trop fort. Gyalsten Phuentso commanda des momo*.

    "J'adore essayer des trucs nouveaux, surtout les plats que je ne connais", dit Dechen Choki, s'animant tout à coup. Puis, un peu gênée par son enthousiasme, elle pouffa de rire.

    La femme apporta bientôt trois bols fumants de soupe garnie de coriandre fraîche et de feuilles d'oignon. Elle posa devant eux trois assiettes, chacune contenant huit momos. Puis elle apporta un grand bol de pâte de piment rouge en disant : "Les Bhoutanais mangent trop de piment". Elle avait vu qu'ils étaient bhoutanais à leurs vêtements. Le porc haché avec du gingembre, des oignons et du piment, cuit en beignets à la vapeur, était délicieux. Tsomo ne mangerait plus jamais d'aussi bons momos de sa vie. "Dieu, que c'est bon. Est-ce le genre de plat qu'on mange ici ? demanda Dechen Choki.

    - C'est un plat tibétain, beaucoup de restaurants en servent. C'est très facile à faire, en fait, mais ça prend du temps."

    Dechen Choki et Gyalsten Phuentso bavardaient comme de vieux amis.

    " Vous savez faire les momos ? Vous voudrez bien m'apprendre ?" et Dechen Choki d'insister jusqu'à ce que Gyalsten Phuentso accepte.

    Kunzang CHODEN, Le Cercle du karma, 2007.

    * boulettes de viande enrobées de farine de sarrasin

    D'autres extraits de littérature gourmande...

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  • Tarte croustillante de boudin sur compotée d'oignon aux pommes

    Imprimer Catégories : Entrées

    Comme un certain nombre de culino-blogueurs, j'ai été contactée par :

    afin de découvrir leurs produits, les tester et en faire profiter les autres. Parmi leur impressionnant - et appétissant - catalogue, j'ai choisi un confit d'oignon aux pommes bio. C'est une recette qui s’inspire directement de la célèbre « sauce Cameline » que l’on trouve dans les livres de cuisine du XIVème siècle, autrement dit une sauce brune dans laquelle la saveur de cannelle domine.

    Ce confit d’oignon est composé de gros oignons blancs, petits oignons grelots, verjus (jus de raisin) du Périgord, raisins et OL0033Vsucre de canne et épices (cannelle et gingembre) ; goûté seul, c'est délicieux, à la fois doux et épicé. J'ai immédiatement vu avec quoi j'allais le marier : du boudin noir ! Et l'association a fait merveille, servie en entrée, avec une salade verte assaisonnée à l'huile de noix. Voici donc mes :

    TARTES CROUSTILLANTES DE BOUDIN SUR LEUR COMPOTÉE D'OIGNON AUX POMMES

    Pour 4 personnes, il faut :

    • un rouleau de pâte feuilletée
    • un pot de confit d'oignon
    • une quarantaine de centimètres de boudin noir

    Préchauffer le four à 210° (th 7).

    Étaler la pâte et découper quatre tartelettes individuelles. Les disposer sur la plaque de cuisson, recouverte d'un papier sulfurisé.

    Déposer sur chaque fond de tarte une bonne cuillère à café, voire une et demie, de confit. L'étaler en couche fine.

    Découper le boudin en rondelles d'un demi-centimètre et les disposer en rosace sur la tartelette.

    Enfourner pendant vingt minutes et servir sans attendre, accompagnée d'une salade verte assaisonnée d'huile de noix.

    Tarte_boudin

    Remarques :

    • La simplicité de sa recette n'a d'égale que sa délicatesse. La douceur épicée du confit se marie parfaitement avec celle du boudin et le croustillant de la pâte feuilletée apporte une touche finale à la chose !
    • L'huile de noix pour la vinaigrette est facultative mais convient divinement à l'ensemble !

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  • Voyage, voyage...

    Imprimer Catégories : Blowing in the wind

    Bani_re_concours_souvenir

    Ca y est, Chef Damien a encore frappé ! Après nous avoir demandé de ramener notre fraise, de replonger dans les délices de l'enfance avec les goûters, maintenant, "il" veut qu'on lui raconte nos vacances ! En cuisine s'il vous plaît...

    Ca s'appelle "Souvenirs de vacances" et il s'agit de publier la recette la plus évocatrice de nos vacances. Le premier prix ? un cours de cuisine à 4 mains, avec Laurence SALOMON et Laurent TROCHAIN, pour deux personnes. Bonne chance à tous !

    Plus d'information ici.

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  • Clin d'oeil aux Bios de Feuilly : la potée !

    Imprimer Catégories : Viandes

    Aujourd'hui, dans mon jardin, le thermomètre affiche fièrement son 27° !

    Seulement cette semaine, dans mon panier bio, il y avait un magnifique chou, tout rond, tout dodu, pommelé, quoi ! Et ce chou n'appelait qu'une chose : une potée.

    Pot_e

    Ainsi soit-elle : dégustée ce midi, en transpirant légèrement, mais en se régalant cependant... Pour la recette, c'est toujours celle de ma belle-mère et elle est ici.

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  • Cake épinard-crevettes ou l'art d'accommoder les restes...

    Imprimer Catégories : Entrées

    Nos anciens (ou plutôt nos anciennes) détenaient une science culinaire précieuse : celle de savoir quoi faire des trois bouts de viande qui traînaient au fond du frigo, du fond de sauce qui attendait depuis plusieurs jours ou des deux pauvres carottes esseulées. Car la cuisine aujourd'hui, c'est souvent des recettes. Précises, nettes. Bien sûr, et les blogs le montrent un peu plus chaque jour, on se laisse aller à modifier ces recettes, à substituer un ingrédient à un autre. Mais il n'empêche qu'un point subsiste toujours : les restes.

    Parce que je vous imagine comme moi : il faut qu'il y en ait ! Sinon, cela signifie qu'on a TOUT mangé, et donc qu'il n'y avait pas assez ! C'est logique ! Les magazines et autres manuels de savoir manger-savoir maigrir auront beau nous le ressasser : on ne doit pas finir son assiette, n'empêche qu'on le fait ! Et qu'on sauce en plus, si c'est trop bon !

    C'est ainsi que l'autre jour, je me retrouvai avec au fond de mon frigo l'équivalent de trois cuillères à soupe d'épinard. Des épinards somptueux. Tout droit sortis du panier bio de la semaine, préparés avec art par mon mari, cuits à la vapeur puis mélangés à une béchamel onctueuse, servis avec oeufs durs et croûtons... oui mais, il en restait trois cuillères le soir venu. Que faire ? se partager la chose ? Dommage... Regarder une seule personne se régaler ? Égoïste. C'est ainsi que j'optai pour le cake, qui concilierait tout le monde. Voici donc le :

    CAKE EPINARD-CREVETTES

    Pour 6, il faut :

    • 250 g de farine
    • un sachet de levure
    • une pincée de sel
    • un demi-verre d'huile de colza
    • un demi-verre de vin blanc
    • 4 oeufs
    • 100 g de petites crevettes décortiquées
    • 3 cuillères à soupe d'épinard

    Préchauffer le four à 180° (th. 6).

    Dans un saladier, verser la farine, la levure et le sel. Incorporer l'huile et le vin, puis les oeufs.

    Lorsque la pâte est onctueuse, ajouter les épinards et les crevettes.

    Faire cuire 45 à 50 minutes. Démouler tiède et servir tiède ou froid.

    Cake__pinard_crevettes

    Remarques :

    • Une fois de plus, l'usage du moule en bois a permis de conserver le moelleux.
    • Ne pas hésiter à majorer le temps de cuisson si besoin est.

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  • Carpaccio de chou-rave sauce asiatique

    Imprimer Catégories : Entrées

    Cette semaine, dans mon panier des Bios de Feuilly, j'avais ça

    Chou_rave

    en trois exemplaires...

    Je glanai quelques informations sur la chose et appris qu'il s'agissait de chou. Ah, ah, me dis-je, de chou-rave alors... Et bien évidemment, je pouffais. Pour moi, Chourave, c'était avant tout l'inénarrable complice du fameux Concombre masqué dont j'ai déjà parlé. Mais ce n'était pas tout de glousser, encore fallait-il l'accommoder. Là dessus mon mari fut catégorique : "il faut le faire cru !" Là derrière ma fille geignait : "oh non, pas du chou, je déteste, j'en mangerai pas d'abord ! Et puis ça me fait vomir..." (Fielleuse allusion à un gratin de chou-vert que nous lui avions fait ingurgité un soir et qui, effectivement, avait eu un peu de mal à passer)

    Je rassurai l'enfant, qui virait de plus en plus à la pré-adolescente et son cortège de complications, et suggérai de le trancher en lamelles fines. Mon amour des crudités, une fois sortie de la tomate et du concombre, chez moi s'apparente plus à une grande méfiance. Apprivoisons la chose, me dis-je donc, en lamelles fines, on sentira moins son goût...

    Sauf que mes réticences étaient infondées. Les premières lamelles tranchées - grâce à ma toujours fameuse mandoline - se révélèrent absolument délicieuses toutes crues ! Légèrement croquantes, très fraîches, avec un petit goût de noisette, cela n'avait rien à voir avec un chou ! D'ailleurs ma fille en convint.

    Ces tranches blanches me donnèrent des idées de contraste, c'est ainsi que je les ai servies avec une sauce asiatique. Voici donc le :

    CARPACCIO DE CHOU-RAVE SAUCE ASIATIQUE

    Pour 4, il faut :

    • un chou-rave
    • 2 cuillères à soupe de sauce Kikkoman
    • une cuillère à soupe d'huile de colza
    • une cuillère à café de jus de citron
    • une grosse pincée de cassonade
    • quelques brins de ciboulette
    • une demi-gousse d'ail

    Trancher ultra fin le chou en utilisant une mandoline si possible. Réserver au frais.

    Écraser l'ail et mêler au sucre. Verser la sauce Kikkoman et le citron puis, progressivement, incorporer l'huile de colza.

    Au moment de servir, déposer les lamelles de chou, arroser de sauce et décorer de petits morceaux de ciboulette.

    Carpaccio_chou_rave

    Remarques :

    • Ma fille en a repris 2 fois, que dire de plus ?
    • C'est une entrée légère, délicate et succulente.
    • Évidemment, le chou-rave bio, c'est mieux !

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  • Terrine d'aubergines et sa concassée de tomate

    Imprimer Catégories : Légumes

    Il y a des recettes comme ça, que l'on peut dégainer à chaque fois que l'urgence s'en fait sentir. On les présente en entrée, en accompagnement-légumes. Elles sont ultra-simples, ont l'avantage de pouvoir se préparer la veille et "marchent" à chaque fois. La terrine d'aubergines que je vais vous présenter ne fait pas exception à la règle. J'ai juste "corsé" la chose en l'enveloppant dans des tranches d'aubergines. Du coup, on est passé franchement du côté du légume, et plus vraiment de l'entrée ! Voici donc la :

    TERRINE D'AUBERGINES ET SA CONCASSÉE DE TOMATES

    Pour 6, il faut :

    • un pot de caviar d'aubergine tout prêt - ou 300 g de "vrai" caviar fait maison, comme chez Bergeou ici
    • 6 oeufs
    • 2 cuillères à soupe de crème fraîche épaisse
    • 2 aubergines
    • huile d'olive
    • gros sel
    • une boîte de tomates en cube ou 500 g de tomates fraîches
    • un oignon
    • sel et poivre
    • sucre roux
    • une branche de thym

    Préparer les aubergines selon la technique développée lors du gratin d'aubergine. Rappel : après avoir lavé puis trancher les aubergines dans leur longueur, les faire dégorger une bonne heure puis, sous le grill du four, les badigeonner d'huile d'olive et les faire griller sur chaque face.

    Tapisser un moule à cake de ces tranches d'aubergines.

    Dans un saladier, mélanger le caviar d'aubergine, les oeufs et la crème. Verser le tout dans le moule à cake.

    Enfourner à 180° au bain-marie tiède pendant 35 minutes. Laisser dans le moule jusqu'au service du plat.

    Peler et émincer l'oignon. Le faire dorer avec deux cuillères à soupe d'huile d'olive avant d'ajouter les tomates en cube. Saupoudrer d'une poignée de cassonade, saler et poivrer en cours de cuisson. Ajouter la branche de thym et laisser compoter une trentaine de minutes. réserver au froid.

    Au moment de servir, démouler la terrine et la présenter avec la concassée de tomates.

    TERRINE_AUBERGINES

    Remarques :

    • Pensez à bien superposer les tranches d'aubergines afin que la préparation liquide ne s'enfuie pas !
    • Tranchez délicatement pour ne pas défaire les tranches...
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