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  • Au menu ce midi

    Imprimer Catégories : Blowing in the wind

    Avec des collègues, nous sommes partis à la découverte d'une nouvelle cantine. Et nous avons trouvé notre bonheur. Ca s'appelle LE RESTAURANT, c'est à Saint Priest (69800) et pour 15€, ils vous proposent une formule très sympathique : entrée + plat ou plat + dessert. Nous, on a pris la deuxième.

    Je me suis régalée avec un colin au chou vert et ses petit lardons, accompagné d'une sauce crème et Noilly-Prat, puis d'une crème au café sous une croûte de spéculoos. Un verre de TARRIQUET Premières Grives, et hop ! Nous étions prêts à repartir.

    Pour info, c'est :

    LE RESTAURANT

    9, avenue de la Gare

    69800 Saint Priest

    04 78 21 14 43

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  • Le repas des Scorta

    Imprimer Catégories : Littérature gourmande

    scortaJ'ai lu ce dimanche un roman somptueux, splendide, magnifique : Le Soleil des Scorta. Pas très à jour, allez-vous dire... D'accord, d'accord, je ne me suis pas ruée dessus à sa sortie. Trop de louanges, de compliments, j'avais peur d'être déçue.

    Sauf que dimanche matin, quand je l'ai ouvert enfin, j'ai été totalement aspirée par ce roman. Une histoire comme une tragédie antique, avec la force du destin en arrière-fond, et le goût, et l'odeur, et la saveur de l'Italie.

    L'écriture de Laurent Gaudé est admirable, d'une justesse, d'une précision, d'une sensualité fabuleuses, un style, en somme. Je vous propose aujourd'hui de vous attarder sur le repas que Raffaele va offrir à ses frères, sa soeur, et leurs enfants respectifs. Voici donc :

    LE BANQUET AU TRABUCCO

    Ils étaient une quinzaine à table et ils se regardèrent un temps, surpris de constater à quel point le clan avait grandi. Raffaele rayonnait de bonheur et de gourmandise. Il avait tant rêvé de cet instant. Tous ceux qu'il aimait étaient là, chez lui, sur son trabucco. Il s'agitait d'un coin à l'autre, du four à la cuisine, des filets de pêche à la table, sans relâche, pour que chacun soit servi et ne manque de rien.

    Ce jour resta gravé dans la mémoire des Scorta. Car pour tous, adultes comme enfants, ce fut la première fois qu'ils mangèrent ainsi. L'oncle Faelucc' avait fait les choses en grand. Comme antipasti, Raffaele et Guiseppina apportèrent sur la table une dizaine de mets. Il y avait des moules grosses comme le pouce, farcies avec un mélange à base d'oeufs, de mie de pain et de fromage. Des anchois marinés dont la chair était ferme et fondait sous la langue. Des pointes de poulpes. Une salade de tomates et de chicorée. Quelques fines tranches d'aubergines grillées. Des anchois frits. On se passait les plats d'un bout à l'autre de la table. Chacun piochait avec le bonheur de n'avoir pas à choisir et de pouvoir manger de tout.

    Lorsque les assiettes furent vides, Raffaele apporta sur la table deux énormes saladiers fumants. Dans l'un, les pâtes traditionnelles de la région : les troccoli à l'encre de seiche. Dans l'autre, un risotto aux fruits de mer. Les plats furent accueillis avec un hourra général qui fit rougir la cuisinière. C'est le moment où l'appétit est ouvert et où l'on croit pouvoir manger pendant des jours. Raffaele posa également cinq bouteilles de vin de pays. Un vin rouge, rugueux, et sombre comme le sang du Christ. La chaleur était maintenant à son zénith. Les convives étaient protégés du soleil par une natte de paille, mais on sentait, à l'air brûlant, que les lézards eux-même devaient suer.

    Les conversations naissaient dans le brouhaha des couverts - interrompues par la question d'un enfant ou par un verre de vin qui se renversait. On parlait de tout et de rien. Giuseppina racontait comment elle avait fait les pâtes et le risotto. Comme si c'était encore un plaisir plus grand de parler de nourriture lorsqu'on mange. On discutait. On riait. Chacun veillait sur son voisin, vérifiant que son assiette ne se vide jamais.

    Lorsque les grands plats furent vides, tous étaient rassasiés. Ils sentaient leur ventre plein. Ils étaient bien. Mais Raffaele n'avait pas dit son dernier mot. Il apporta en table cinq énormes plats remplis de toute sorte de poissons pêchés le matin même. Des bars, des dorades. Un plein saladier de calamars frits. De grosses crevettes roses grillées au feu de bois. Quelques langoustines même. Les femmes, à la vue des plats, jurèrent qu'elles n'y toucheraient pas. Que c'était trop. Qu'elles allaient mourir. Mais il fallait faire honneur à Raffaele et Giuseppina. Et pas seulement à eux. A la vie également qui leur offrait ce banquet qu'ils n'oublieraient jamais. On mange dans le Sud avec une sorte de frénésie, d'avidité goinfre. Tant qu'on peut. Comme si le pire était à venir. Comme si c'était la dernière fois qu'on mangeait. Il faut manger tant que la nourriture est là. C'est une sorte d'instinct panique. Et tant pis si on s'en rend malade. Il faut manger avec joie et exagération.

    Les plats de poisson tournèrent et on les dégusta avec passion. On ne mangeait plus pour le ventre mais pour le palais. Mais malgré toute l'envie qu'on en avait, on ne parvint pas à venir à bout des calamars frits. Et cela plongea Raffaele dans un sentiment d'aise vertigineux. Il faut qu'il reste des mets en table, sinon, c'est que les invités n'en ont pas eu assez. A la fin de repas, Raffaele se tourna vers son frère Giuseppe et lui demanda en lui tapotant le ventre : "Pancia piena ?"  Et tout le monde rit, en déboutonnant sa ceinture ou en sortant son éventail. La chaleur avait baissé mais les corps repus commençaient à suer de toute cette nourriture ingurgitée, de toute cette joyeuse mastication. Alors Raffaele apporta en table des cafés pour les hommes et trois bouteilles de digestifs : une de grappa, une de limoncello et une d'alcool de laurier.

    Laurent GAUDE, Le Soleil des Scorta, 2004.

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  • La Torta de Sandrine

    Imprimer Catégories : Table d'hôtes

    Je laisse la parole à Sandrine :

    La Corse est une île française située au Sud-Ouest de l'Europe, en plein coeur de la mer Méditerranée. Elle est entourée par la France continentale, l'Italie et l'île de Sardaigne. De par son relief, elle donne l'illusion d'une montagne surgie des eaux.

    Etant personnellement du Cap Corse, j'ai néanmoins à coeur de vous présenter la Balagne, région de laquelle est issue la Torta et coin merveilleux de "mon île" de beauté.

    De par son insularité, son relief et sa situation géographique, la Corse profite d'un climat qui présente des saisons très variées. Des étés très chauds avec des maximales de 36° sur le littoral et 26° en montagne alternent avec des hivers doux.

    La Balagne est une micro région de l'île de Corse.

    Située au Nord-Ouest de la Corse, la Balagne s'étend sur environ 11% de la superficie de l'île, soit 95 129 ha. Ses villages accrochés à la montagne, ses clochers, ses collines et ses plaines qui s'étirent vers la mer lui donnent toute son authenticité.

    Réputée pour la beauté de ses plages et la limpidité de ses eaux, la Balagne n'en est pas moins une région riche de son terroir et de son histoire. Cette diversité lui a valu son nom de "jardin de la Corse". Sur la côte Nord Ouest de l'île, de la vallée de l'Ostriconi à Galeria, la Balagne s'ouvre vers des villages et hameaux qui peu à peu vous deviendront familiers.

    Sites archéologiques, citadelles, églises, chapelles et autres édifices, dont nombre sont des monuments classés, attestent d'un patrimoine que les siècles et les hommes ont laissé comme une empreinte dont vous pouvez être, l'espace d'une visite, les dépositaires.

    Si vous cherchez l'aventure, la Balagne est également un environnement naturel, propice à la pratique de la randonnée, du parapente, du VTT et de toutes autres activités de plein air.

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    LA TORTA

    Ce gâteau se rapproche du biscuit de Savoie. Sa recette est très simple mais sa souplesse dépend du (grand) nombre d'oeufs employés, qu'il faut battre en neige bien ferme. Il peut être recouvert d'un glaçage au chocolat, décoré de fruits confits (orange, lamelles de cédrat, ...)

    Ingrédients (pour 10 personnes) :

    • 12 oeufs
    • 12 cuillerées à soupe de farine
    • 12 cuillerées à soupe de sucre semoule.

    Pour le glaçage au chocolat :

    • 100 g de chocolat noir à croquer
    • 50 g de beurre

    Préchauffer votre four à th. 5 (175 °).

    Séparez le blanc des jaunes. Réservez les blancs. Battez les jaunes avec le sucre jusqu'à ce que le mélange blanchisse. Incorporez alors la farine, en soulevant.

    Battez les blancs en neige très ferme avec une pincée de sel.

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    Intégrez au mélange peu à peu, toujours en soulevant.

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    Versez dans un grand moule à manqué beurré et laissez cuire environ 40 minutes à th. 5.

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    Occupez vous maintenant du glaçage au chocolat :

    Faites fondre le chocolat au bain - marie ou au four à micros - ondes. Ajoutez le beurre ramolli coupé en parcelles. Remuez au fouet afin de bien incorporer le beurre et d'obtenir un mélange homogène. Le glaçage est prêt à être utilisé.

    Sortie du four, laissez refroidir la Torta 5 minutes avant de la napper du chocolat et de la décorer à votre convenance.

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    Bon Appitittu !!!

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  • Foire de Lyon 2006

    Imprimer Catégories : Blowing in the wind

    Cet après-midi, j'étais à la Foire de Lyon et j'ai acheté ça :

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    A moi émincés, brunoises et autres juliennes !

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  • Grasse matinée chez Jacques Prévert

    Imprimer Catégories : Littérature gourmande

    pr_vertC'est drôle, Jacques Prévert est le premier auteur qui m'a fait faire coïncider littérature et réalité. Je me rappelle parfaitement cette annonce au journal télévisé du soir, en 1977, accompagné de cette photo noir en blanc : "Jacques Prévert est mort."

    Mais pour moi, Jacques Prévert ne pouvait pas être mort ! Jacques Prévert était un poète ! De ceux que j'apprenais à l'école avec bonheur... "A l'enterrement d'une feuille morte, deux escargots s'en vont..." "Peindre d'abord une cage..."

    C'est ainsi que j'ai découvert que nous seulement les poètes étaient des êtres humains, mais qu'en plus, ils mourraient.

    Heureusement que leurs vers restent... Ce n'est pas mon poème préféré de Prévert que je vous propose aujourd'hui, mais le plus en rapport avec la nourriture... Voici :

    LA GRASSE MATINEE

    Il est terrible
    Le petit bruit de l’œuf dur cassé sur un comptoir d'étain
    Il est terrible ce bruit
    Quand il remue dans la mémoire de l'homme qui a faim
    Elle est terrible aussi dans la tête de l'homme
    La tête de l'homme qui a faim
    Quand il se regarde à six heures du matin
    Dans la glace du grand magasin
    Une tête couleur de poussière
    Ce n'est pas sa tête pourtant qu'il regarde
    Dans la vitrine de chez Potin
    Il s'en fout de sa tête l'homme
    Il n'y pense pas
    Il songe
    Il imagine une autre tête
    Une tête de veau par exemple
    Avec une sauce de vinaigre
    Ou une tête de n'importe quoi qui se mange
    Et il remue doucement la mâchoire
    Doucement
    Et il grince des dents doucement
    Car le monde se paye sa tête
    Et il ne peut rien contre ce monde
    Et il compte sur ses doigts un deux trois
    Un deux trois
    Cela fait trois jours qu'il n'a pas mangé
    Et il a beau se répéter depuis trois jours
    Ca ne peut pas durer
    Ca dure
    Trois jours
    Trois nuits
    Sans manger
    Et derrière ces vitres
    Ces pâtés ces bouteilles ces conserves
    Poissons morts protégés par les boîtes
    Boîtes protégées par les vitres
    Vitres protégées par les flics
    Flics protégés par la crainte
    Que de barricades pour six malheureuses sardines..
    Un peu plus loin le bistrot
    Café-crème et croissants chauds
    L'homme titube
    Et dans l'intérieur de sa tête
    Un brouillard de mots
    Un brouillard de mots
    Sardines à manger
    Oeuf dur café-crème
    Café arrosé rhum
    Café-crème
    Café-crème
    Café-crime arrosé sang !...
    Un homme très estimé dans son quartier
    a été égorgé en plein jour
    L'assassin le vagabond lui a volé
    Deux francs
    Soit un café arrosé
    Zéro franc soixante-dix
    Deux tartines beurrées
    Et vingt-cinq centimes pour le pourboire du garçon.

    Jacques PREVERT, Paroles.

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  • Repas d'anniversaire

    Imprimer Catégories : Blowing in the wind

    Aujourd'hui 20 Mars, c'est l'anniversaire de mon mari. Nous avons un peu triché en le fêtant hier... et rendant hommage au Sud-Ouest par les plats.

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    Foie gras de canard...

    19_03_2006_006

    Confit de canard et ses accompagnements...

    Pour les vins, nous nous sommes un peu promenés à travers la France, comme le montrent les photos...

    J'oubliais ! le dessert, c'était profiterolles, mais j'ai eu la flemme de sortir l'appareil...

    REMARQUE :

    Confit et foie gras - excellents ! - provenaient de la même source :

    Famille DELEST - "Darrigade" - 40140 SOUSTONS

    familledelest@voila.fr

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  • Lasagnes aux deux viandes

    Imprimer Catégories : Viandes

    Hier soir, j'avais des amis à dîner. Manque de chance, je n'avais pas des tonnes de temps pour cuisiner. J'ai donc opté pour des lasagnes.

    Sauf que chez moi, les lasagnes, c'est fantaisie ! J'essaie toujours une nouvelle façon de les préparer à chaque fois. Là, c'est le blog de Cannelle et cacao qui m'a inspiré. En effet, s'y trouvait depuis vendredi dernier une appétissante recette de sauce bolognaise. La conclusion de la recette étant "Cette sauce est parfaite avec les pâtes mais permet aussi la réalisation de succulentes lasagnes."

    J'ai donc décidé de partir sur sa sauce et de laisser faire les hasards du marché. Voici donc mes :

    LASAGNES AUX DEUX VIANDES

    Pour 8 personnes, il faut :

    Pour la sauce à la viande

    • 500 g de viande de boeuf haché
    • 500 g de veau haché
    • 600 g de coulis de tomates
    • 1 boîte de tomates en cube (400g)
    • 1 cube de bouillon de poule au pot
    • 2 oignons
    • 2 gousses d'ail
    • 100 g de pancetta
    • du sel et du poivre
    • 1 cuillère à soupe de cassonade
    • des lasagnes sèches
    • de l'huile d'olive
    • une bonne rasade de vin rouge
    • 1 cuillère à soupe de vinaigre balsamique
    • 1 carotte

    Pour la béchamel et le dressage

    • un demi-litre de lait
    • 50 g de beurre
    • 4 cuillères à soupe de farine
    • sel et poivre
    • un peu de noix de muscade râpée
    • 300 g de gruyère

    Peler et émincer l'ail et les oignons. Couper la pancetta en petits cubes. Peler et couper la carotte en petits cubes.

    Verser deux cuillères à soupe d'huile d'olive dans une grande casserole. Y faire revenir l'ail, les oignons, la carotte et la pancetta pendant cinq minutes en remuant très souvent.

    Au bout de cinq minutes, verser la tomate, le bouillon-cube, la viande, la cassonade, le vin rouge, le vinaigre balsamique, saler et poivrer. Bien remuer pour que la viande se détache bien et laisser mijoter à feu doux une bonne heure.

    Vers la fin de la cuisson, préparer la béchamel en faisant fondre le beurre, y ajoutant la farine d'un coup, remuant, salant, poivrant, muscadant ; faire couler le lait petit à petit jusqu'à obtention d'une béchamel épaisse.

    Monter les lasagnes : dans un grand plat beurré, verser un peu de béchamel. Y poser les lasagnes. Recouvrir de béchamel, de sauce à la viande, saupoudrer de gruyère râpé et poser une lasagne. Recommencer jusqu'à épuisement des munitions.

    Faire cuire à four moyennement chaud (165°) pendant 30 à 40 minutes. Servir sans attendre.

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    Evidemment, c'était très bon !

    Evidemment, je ne pouvais pas prévoir que mes invités en avaient justement mangé à midi !

    Version imprimable : LASAGNES_AUX_DEUX_VIANDES.doc

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  • Magie d'Harry Potter - L'art de desservir à Poudlard

    Imprimer Catégories : Littérature gourmande

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    En fait, c'est un piège. Lorsque j'ai décidé, après avoir fini le tome 6, de relire tout Harry Potter, j'avais en tête plein de festins plus magiques les uns que les autres !

    Images subliminales ! Il n'y en a pas tant que ça... Je retiens tout de même cet extrait traitant de :

    L'ART DE DESSERVIR A POUDLARD

    Quand tout le monde se fut bien rempli l’estomac, ce qui restait dans les plats disparut peu à peu et la vaisselle redevint étincelante de propreté. Ce fut alors le moment du dessert : crèmes glacées à tous les parfums possibles, tartes aux pommes, éclairs au chocolat, beignets, babas, fraises, gâteau de riz.

    Harry se servit. Tandis qu’il prenait un morceau de tarte à la mélasse, les autres se mirent à parler de leur famille.

    J. K. ROWLING, Harry Potter à l'Ecole des Sorciers, 1997.

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  • Recette de brassadeau - suite

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    Je dois être un peu blonde, comme dirait mon mari... Hier, je lançais un appel désespéré à la cantonnade pour la recette des brassadeaux alors que c'était sous mes yeux, ou presque.

    LA RECETTE ETAIT SUR MARMITON ! Sauf que, petite joueuse que je suis, au lieu de chercher brassadeau, au singulier, il fallait taper brassadeaux, au pluriel ! N'empêche que Marmiton n'est pas super coopératif...

    Merci à Paul et Manue pour leur aide. Je tiendrai tout le monde au courant de mes réalisations futures...

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  • Recette de brassadeau

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    Help ! Au secours ! J'ai désespérément envie de brassadeaux mais je ne trouve pas de recette ! Quelqu'un pourrait-il m'aider ?

    Pour info, le brassadeau est une spécialité drômoise, un ptit gâteau en forme d'anneau, à la fleur d'oranger.

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