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gelée

  • Timbale de crabe et crevette et sa gelée de crustacés

    Imprimer Catégories : Entrées, Poissons

    Ariaké, il y a longtemps que je vous en parle. Le summum du bouillon, rien de plus. Ces sachets magiques à infuser vous transcendent n'importe quelle recette, et j'avoue raffoler, les soirs de "jeûne" après excès, du bouillon de légumes nature, bu simplement dans un mug !

    Vous imaginez donc que lorsque j'ai été contactée pour participer à un concours de recettes utilisant les produits Ariaké, je n'ai pas hésité beaucoup... 

    En revanche, j'avoue que le choix de la recette m'a bien fait travaillé les méninges. Une recette qui mette en valeur le produit, certes, mais sans l'écraser sous tout le reste et en apportant un peu d'imagination quand même... un joli challenge !

    J'ai finalement opté pour une recette à base de crustacés, qui me permettait d'utiliser le bouillon du même nom et de le "customiser" un peu. Voici donc cette :

    PETITE TIMBALE DE CRABE ET CREVETTE ET SA GELEE DE CRUSTACES

    Pour 6 timbales, il faut :

    • 200 g de crabe en miettes
    • 400 g de queues de crevette
    • deux sachets de bouillon ARIAKE aux crustacés
    • 15 cl de crème
    • 3 blancs d'oeuf
    • 2 grammes d'agar agar
    • sel et poivre
    • une feuille d'algue nori pour la décoration

    Préparer le bouillon en faisant infuser 60 cl d'eau et les bouillons : plonger les sachets dans l'eau bouillante et laisser 5 à 10 minutes. Y plonger les crevettes trente secondes si elles sont cuites et une minute si elles sont à décongeler.

    Égoutter les crevettes et les réserver. Filtrer le bouillon et réserver.

    Préparer les timbales en mélangeant dans un robot-mixeur les blancs d'oeuf, le crabe, 50 g de crevettes décortiquées, la crème, le sel et le poivre.

    Chemiser de film transparent de petits moules à soufflés. Les remplir aux deux tiers et les filmer hermétiquement.

    Laisser cuire quarante minutes au bain-marie, dans une casserole couverte, en laissant à peine frémir.

    Préparer la gelée en diluant l'agar agar dans 40 cl de bouillon filtré et porter à ébullition. Laisser tiédir.

    Rincer des petits moules à soufflés (les mêmes que pour les timbales) et ne pas essuyer. Déposer dans chacun deux crevettes et verser la gelée de façon à recouvrir les crevettes. Laisser prendre au réfrigérateur.

    DRESSAGE : démouler les timbales refroidies et les déposer au centre de l'assiette. Démouler délicatement la gelée et la placer sur la timbale crabe-crevette. Décorer avec des crevettes restantes et une feuille d'algue nori et servir.

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    Remarques :

    • Vous pouvez choisir de faire un bavarois géant, en utilisant un moule démontable qui vous permettra de faire la mousse de crabe et crevette et faire prendre la gelée directement dessus, avant de démouler.
    • J'ai réalisé cette recette avec des queues de crevettes surgelées P...

    RECETTE PARTICIPANT AU CONCOURS ARIAKE-750 G

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  • Foie gras à la gelée de porto et au sel de l'Himalaya

    Imprimer Catégories : Entrées

    J'avais déjà eu l'occasion de vous parler des produits Eric Bur, à l'occasion de mon fondant au chocolat et graines de lavande. Cette fois-ci, ce n'est plus un, mais deux produits que j'ai testé ensemble ! Mais oui, soyons fous !

    J'avais choisi de servir en entrée (avant le couscous dont je vous ai déjà parlé...) un des fameux foies gras de la famille DELEST, celui de la ferme Darrigade. Et pour accompagner ledit foie gras, pour changer des chutneys et autres confitures de fugue, j'ai décidé de tester ce pot de gelée au porto Eric Bur. Mal m'en a pris : car si le foie gras, comme d'habitude, faisait l'unanimité, ce fut loin d'être le cas de la gelée. Fade, sans goût, d'une texture à la fois molle et gélatineuse, bref, le néant !

    Alors, comme je ne voulais pas en laisser mes invités sur cette note discordante, et tâchant de confirmer l'adage célèbre selon lequel "il faut toujours laisser sa chance aux produits) j'ai sorti l'autre arme secrète : le sel rose de l'Himalaya, toujours de chez Eric Bur. Et là, ouf ! Il a fait un tabac ! Les gens ont adoré le sentir craquer sous la dent, dégageant un parfum unique, bien loin des senteurs iodées auxquelles nous sommes coutumiers, qui se mêlait parfaitement à la douceur du foie gras.

    foie gras.jpg

    Après, nous sommes passés au couscous, mais ça, je vous l'ai déjà raconté... Quant au dessert, ce sera pour la prochaine fois ! (ça, c'est du teasing, non ?)

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