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Blowing in the wind - Page 5

  • Champagne ! Votez, commentez et gagnez !

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    Il ne reste plus que trois jours pour commenter ma recette de Brie crousti-fondant et sa gelée de Champagne rosé et gagner une bouteille de champagne, puis de voter ensuite pour ma recette sur le site Champagnes de vignerons et tenter de gagner UNE CAISSE de champagne cette fois-ci !

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  • La rentrée, vraiment ?

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    Aubrac.jpg

    Environs de Nasbinals - Aubrac  - Lozère

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  • "A la fois Einstein et Racine"

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    "- Dis moi quelque choses, que je l'emporte".
    Panique. Je cherche, ça tourne, il faut trouver quelque chose dont elle se souvienne, quelque chose qui résume tout ce que nous avons été, quelque chose qui soit bien à nous, à nous deux seuls, où il y ait nos cerveaux trop gros et nos coeurs si larges, quelque chose qu'aurait dit... je ne sais pas moi, un type qui serait à la fois Einstein et Racine. Einstein et Racine !...
    Alors, d'un seule coup je me penche au dessus de la rambarde, les mains en porte-voix, et hurle : "e=mc², mon amour !"

    E = mc², mon amour, 1977.

    (Claude KLOTZ dit) Patrick CAUVIN, 1932-2010

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  • Apéro fada : les résultats !

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    C'est fini : depuis avant-hier, minuit (ou hier matin, tout est relatif), le concours Apéro fada est terminé ! J'ai donc procédé au dépouillement (eh oui, même en vacances, les profs corrigent...) et d'emblée, une constatation s'impose : les femmes sont décidément beaucoup plus lectrices que les hommes. Ou alors moins paresseuses. Ou plus joueuses. Ou plus gourmandes tout simplement.

    Tout ceci pour dire que finalement, après avoir souvent buté sur la neuvième question (Karanci ou Tchakhmakhian ?), deux bulletins sont restés en finale. Nous avons donc procédé familialement à un tirage au sort. C'est la main la plus jeune, donc la plus innocente (photo à l'appui), qui a tranché :

    main innocente.jpg

    Et la gagnante est Sophie, du blog La Soupe au caillou. Mais n'allez pas croire pour autant qu'il n'y ait que des blogueurs qui aient participé... J'ai eu beaucoup de plaisir à lire les bulletins-réponses de lecteurs et leurs témoignages de sympathie. Merci encore à vous.

    Sophie recevra donc son kit Apéro dans les prochains jours :

    Apéro Puget.jpg

    En attendant, voici tout de même les réponses aux dix questions. Et merci encore à tous !

    Quel est l’étal préféré de Marina De Blasi ? Celui de la marchande d’œufs.

    Quel auteur propose cette recette de volaille : Quatre petits poulets, fendus par moitié, frappés du plat de la hachette, salés, poivrés, bénits d'huile pure, administrée avec un goupillon de pebreda dont les folioles et le goût restent sur la chair grillée ? Colette.

    Qui prépare des soufflés [qui] seraient allés se coller au plafond tant ils étaient légers, volatils, immatériels ? C’est Mademoiselle, dans Vango de T. de Fontbelle.

    Qui s’est vu servir lors d’un voyage en Italie des croûtes aux truffes noires de Norcia ? C’est C. Geissler.

    Qui aime l’ail en souvenir de la première fille qu’il a embrassé qui sentait cette odeur ? J.C. Izzo.

    Avec quel fruit l’auteur de ce livre a l’impression d’avoir sept ans de nouveau, plus rien n'a d'importance que la force avec laquelle[elle] presse les graines entre [ses] doigts pour les lancer devant [elle], et les dessins que [elle] trace à la cuiller dans la chair juteuse ? C’est la pastèque (F. Mayes).

    Dans quel roman peut-on trouver à la carte le plat suivant : Huîtres en coquille et saucisses maison au cognac, pistaches + truffes noires - servies avec une crème de raifort au Bushmills ? Dans Alcool,( P.Z. Brite).

    Chez qui peut-on manger des moules grosses comme le pouce, farcies avec un mélange à base d'œufs, de mie de pain et de fromage. Des anchois marinés dont la chair était ferme et fondait sous la langue. Des pointes de poulpes. Une salade de tomates et de chicorée. Quelques fines tranches d'aubergines grillées. Des anchois frits ? Chez les Scorta, de L. Gaudé.

    Chez quelle famille et dans quelle ville peut-on petit-déjeuner ainsi : Il y avait des olives noires, des poivrons rouges farcis aux olives vertes, du fromage frais, du fromage tressé, du fromage de chèvre, des oeufs durs, des gâteaux au miel, de la sauce buffalo, de la confiture d'abricot et de la confiture de fraise faite maison et de tomates à la menthe et à l'huile d'olive, présentés dans de jolies coupes en porcelaine ? Chez les Kanzanci à Istanbul, E. Shafak.

    Dans quel roman trouve-t-on le gâteau idéal pour une journée froide : parfumé au gingembre, sucré mais fort ? Dans Le treizième conte de D. Setterfield.

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  • Concours Puget : gagnez un kit Apéro fada

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    Attention, il ne vous reste que cinq jours pour participer au concours de Ma Cuisine rouge et gagner le kit Apéro fada : le 4 août, ce sera terminé...

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  • Il fait chaud...

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    Pauline ESTER, "Il fait chaud", 1989.

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  • Après ma cuisine, ma bibliothèque, voici mon jardin...

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    C'était fin mars, le moment des semis. J'ai bien désherbé l'endroit, fait de jolis carrés nets, et j'ai commencé à planter quelques graines...

    Certains font du légume, d'autres des aromatiques, moi, ce sera de la littérature jeunesse exclusivement, plus spécifiquement pour les dix-quinze ans. Affaire de métier, direz-vous.

    Plus sage dans la forme que celui-ci, cet autre blog (parce que vous aurez compris qu'il s'agit d'un autre blog...) se veut avant tout un outil de travail : mon carnet de lectures adolescentes. Destiné aux amateurs, quel que soit leur âge, aux enseignants aussi - car nous connaissons tous le drame de la recherche de lectures de vacances par exemple... - il comportera des résumés de livres, quelques extraits (car je reste une "gourmande dégustatrice" et je crois que l'on donne envie en faisant goûter) et éventuellement quelques pistes versdes documents pédagogiques.

    Bienvenue donc dans mon "autre" blog :

    Il doit son nom à un poème de Georges JEAN que vous pouvez lire dans son intégralité ici et j'espère qu'il vous plaira autant qu'il m'a plu de le concevoir et de le rédiger...

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  • "Et c'était comme si tout recommençait..."

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    Une parole poétique

    Aimer à perdre la raison
    Aimer à n'en savoir que dire
    A n'avoir que toi d'horizon
    Et ne connaître de saisons
    Que par la douleur du partir
    Aimer à perdre la raison

    Une parole politique

    Ils se croyaient des hommes, n'étaient plus que des nombres
    Depuis longtemps leurs dés avaient été jetés
    Dès que la main retombe il ne reste qu'une ombre
    Ils ne devaient jamais plus revoir un été

    Une parole prophétique

    Leur vie ils seront flics ou fonctionnaires
    De quoi attendre sans s'en faire
    Que l'heure de la retraite sonne
    Il faut savoir ce que l'on aime
    Et rentrer dans son H.L.M.
    Manger du poulet aux hormones

    Une parole lyrique

    Il faudra réapprendre à vivre
    Ensemble écrire un nouveau livre
    Redécouvrir tous les possibles
    Chaque chose enfin partagée
    Tout dans le couple va changer
    D'une manière irréversible

    Le poète a toujours raison
    Qui voit plus haut que l'horizon
    Et le futur est son royaume
    Face aux autres générations
    Je déclare avec Aragon
    La femme est l'avenir de l'homme

    Une parole prolifique
    Et c'était comme si tout recommençait

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  • "Combien de temps ?" (A. GROUSSET, P. PORTER)

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    Parfois la littérature dite "de jeunesse" sait dire les choses mieux que toutes les autres...

    Les brigades vertes.jpg

    "Un groupe d'écologistes lassé de la passivité de ses dirigeants et des concessions du pouvoir, s'en prend directement aux pollueurs et à leurs complices politiques: ce sont les Brigades vertes. Mais bientôt le mouvement dérape vers la violence, et ses actions drôles et sympathiques du début se radicalisent: le vert de l'espérance tourne au rouge sang."

    A la reprise des débats, les esprits étaient loin d'être calmés. L'ex-député européen français, Alain Frémond, qui, par le passé, s'était déjà fait remarquer par son franc-parler monta à la tribune, l'air grave.

    - COMBIEN DE TEMPS ? commença-t-il en martelant ses mots.

    Il laissa passer quelques secondes puis reprit :

    - Combien de temps nous reste-t-il ? Devons-nous attendre qu'il soit trop tard ? Faut-il encore perdre du temps et de l'énergie à convaincre ceux qui ne veulent rien entendre ?

    Dans un silence pesant, il s'arrêta encore une fois de parler, balayant la salle du regard.

    - COMBIEN DE TEMPS ? Combien de temps encore laisserons-nous les pollueurs décider à notre place. J'ai entendu le discours d'autosatisfaction de notre collègue français sous-secrétaire d'état à l'environnement, beaucoup de tapage pour de bien piètres résultats. D'ailleurs, les quelques réformettes dont on vous a chichement fait l'aumône ne sont même pas appliquées. L'écologie politique a montré ses limites, non seulement elle ne sortira pas la politique de son ornière, mais elle risque de s'y embourber à son tour ! Non, monsieur le ministre, nous ne voulons plus être la goutte d'huile dans les rouages de la machine capitaliste !... Désormais, nous serons le grain de sable de son engrenage !

    Dans la salle, la tension monta d'un cran.

    - COMBIEN DE TEMPS  encore, une justice à deux vitesses frappera-t-elle plus fort et plus vite le loubard de banlieue que le pollueur patenté ? A ces industriels qui font tristement rimer chômage et chantage, je propose de compléter leur rengaine et que, désormais, pollueur rime avec payeur ! Dans le sud de la France, des militants ont été jetés en prison pour avoir fait barrage de leur corps aux bulldozers, mais, pendant leur incarcération, les bétonneurs ont continué leur chantier... toujours sans permis de construire ! A quand une condamnation pour crime contre l'environnement ?

    Quelques applaudissements fusèrent dans le fond de la salle. Frémont  profita du laps de temps pour boire un demi-verre d'eau.

    - COMBIEN DE TEMPS ? Combien de temps encore laisserons-nous piller la planète par les 15% de la population qui consomment 85% des ressources et produisent les 4/5° de la pollution ! Quel exemple pour le tiers-monde pour qui, désormais, richesse devient synonyme de pollution ! Quelle sera notre crédibilité ? Et combien seront dérisoires nos arguments pour leur faire comprendre que leurs forêts sont un des patrimoines de l'humanité et non un tas de bois que l'on peut brûler ou exploiter n'importe comment. Et d'ailleurs, pour quoi, pour qui les forêts brûlent-elles ? vous pouvez tourner le problème dans n'importe quel sens, à la base de toute pollution, il y a LE PROFIT ! Or, l'écologie est un placement à long terme et les pollueurs n'ont pas de temps à perdre... quand il y a de l'argent à gagner !

    COMBIEN DE TEMPS ? Combien de temps notre planète supportera-t-elle un tel traitement ? Les fleuves sont devenus des égouts, les océans des dépotoirs. D'année en année, le trou dans la couche d'ozone s'agrandit, l'effet de serre commence à se faire sentir. Le plus inquiétant, c'est que, même si toutes les pollutions s'arrêtaient du jour au lendemain, nous ne serions pas sûrs d'avoir gagné la partie !

    COMBIEN DE TEMPS ? Combien de temps encore sans remettre en cause notre mode de vie ? « L'utopie ou la mort ! » prédisait René Dumont dans les années 70, heureuse époque où nous avions le choix.

    COMBIEN DE TEMPS pour prendre conscience que la planète est malade, rongée par le cancer de la pollution et du profit !

    COMBIEN DE TEMPS encore soignerons-nous par l'homéopathie ce qu'il faudrait opérer d'urgence !

    COMBIEN DE TEMPS encore pourrons-nous faire l'économie d'une révolution ? La persuasion et la concertation ont échoué, c'est maintenant le temps de l'action ! Nous ne devons plus attendre, car nous n'avons pas de planète de rechange ! C'est de la légitime défense... et s'il le faut, ce sera de la LEGITIME VIOLENCE !

    Le silence qui avait accompagné le début de l'allocution s'était peu à peu transformé, les cris avaient succédé aux murmures, les applaudissements avaient répliqué aux sifflements. Ce fut dans un tumulte invraisemblable qu'Alain Frémont, un peu essoufflé, mais visiblement satisfait, quitta la tribune.

    Le président de séance essaya en vain de rétablir l'ordre. Il finit par ajourner la session jusqu'à nouvel ordre.

    Alain GROUSSET, P. PORTER, Les Brigades vertes, 1999.

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  • Imaginez... une journée de cuisine chez Anne-Sophie PIC

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    crayon.jpg
    Imaginez... neuf personnes qui se retrouvent un samedi matin vers neuf heures moins de quart devant Scook, le magasin-école de cuisine d'Anne-Sophie PIC, à Valence.

    Imaginez... une boutique qui provoque chez des adultes normalement constitués le même sentiment que celui qu'ils éprouvaient enfants dans un magasin de jouets, avec ses ustensiles tous plus tentants les uns que les autres, sa vaisselle aux lettres de la maison et ses outils "de professionnels".

    AtelierScook.jpgImaginez... l'atelier de cuisine qui vous attend. Une immense cuisine gris ardoise qui fait face aux baies vitrées. Deux fours à chaleur tournante, un four vapeur, deux réfrigérateurs, un congélateur, des placards plein de merveilles. Les épices et autres condiments entassés tout simplement dans des boîtes carrées en plastique transparent.

    Avancez... vers l'îlot central, trapu et recouvert d'inox, des plaques à induction et deux poubelles intégrées au centre. Et prenez place : neuf planches de couleur vous attendant, un tablier aux chiffres de la maison, un torchon, deux couteaux et des fiches cartonnées, avec un crayon à papier pour prendre vos notes.

    D'abord s'habiller. Puis, à la queue leu leu, se laver les mains avant de regagner sa place. Ou son poste.

    Et écouter :  le chef, Stéphane ROSSILLON, nous présente la journée : avec Fanny, son assistante, ils vont nous apprendre à confectionner une crème brûlée au foie gras et un bar de ligne à la vapeur de wakamé, bonbons d'huîtres au concombre, beurre monté à la vodka, le matin. Puis déjeuner au 7, le "bistrot" d'Anne-Sophie PIC avant de repartir pour une après-midi aussi riche que la matinée : le suprême de pigeon en croûte de noix, figues rôties et aux épices douces, et le soufflé chaud au Grand-Marnier.

    Et la matinée va se dérouler comme dans un rêve. Mais un rêve roboratif ! car si l'on a commencé par préparer le chutney de concombre - première leçon, rien ne se perd : la partie large fera les lamelles pour les bonbons, le plus fine servira à la julienne et le coeur pépineux finira dans la centrifugeuse - tout en s'occupant de la royale de foie gras, si l'on a appris à lever les filets du bar tout en mijotant l'émulsion de pomme, si l'on s'occupe d'ouvrir les huîtres tout en surveillant la cuisson du pop corn, on finira quand même par voir apparaître le sommelier qui viendra nous servir un Chapoutier blanc - "heure de l'apéritif" !- qui accompagnera avec bonheur la crème brûlée au foie gras, nappée de son émulsion de pomme verte et croustillante de ses bâtonnets de pomme verte, et son pavé de bar, servi avec le chutney de concombre, le bonbon d'huître, le tout arrosé de beurre monté à la vodka et au citron vert.

    Premier délice que ces explosions de saveurs en bouche. C'est la fin de la matinée et nous partons vers le 7, histoire de se restaurer... mais surtout de s'asseoir !

    Là, entrée "en brigade" dans le restaurant qui bourdonne : foule familiale, serveurs affairés mais néanmoins cordiaux et attentifs, nous sommes installés à une longue table au centre de la salle. Au menu, un velouté de courge à la crème de bleu d'Auvergne et ses graines de courge grillées, et des filets de rouget en sauce bouillabaisse, accompagnés d'une écume de rouille. Un vin blanc, de Touraine d'abord, puis de la vallée du Rhône ensuite, va nous accompagner. Nous grignotons des bâtonnets de fougasse en attendant. puis viendra le dessert, un "finger praliné", soit une mousse très chocolatée avec sa chantilly au praliné et sa quenelle de glace chocolatée. Un café, et c'est le retour en cuisine, un peu inquiets à l'idée de devoir avaler encore un pigeon en croûte de noix et un soufflé au Grand-Marnier...

    Mais le rythme reprend tambour battant : on lance la crème pâtissière à l'infusion de zestes d'orange, on prépare le beurre aux épices, on apprend à désosser un pigeon. L'après-midi va défiler à un rythme infernal, le programme initial en sera même bouleversé. On apprendra à faire un "véritable" jus afin d'accompagner les cuisses de pigeon que le chef a décidé de quasi-confire dans leurs sucs.

    On finira la journée devant un verre de Jaboulay, une Syrah rouge, à déguster nos suprêmes de pigeon croustillants sous leur croûte de noix, une figue juteuse fondante en bouche, une cuisse(tte) de pigeon presque en bonbon, à saucer jusqu'aux plats pour encore sentir les arômes, et, finalement, à plonger sa cuillère dans un soufflé au Grand-Marnier, miracle de légèreté et de finesse, tout en échangeant sur notre journée, les trucs et astuces du chef, les petits conseils de Fanny, bref, le Bonheur !

    Et le soir ? euh, je n'ai mangé qu'un yaourt !

    fiches.jpg
    Des moins égoïstes que moi ont fait des photos lors de précédentes sessions et c'est ICI.
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